Canta Galet
2024-11-07 22:05:43 UTC
Réponse
PermalinkEt quand deux nationalistes prennent des décisions nationalistes,
forcément ça fait boom !
Et oui, le nationalisme est une maladie infantile, la rougeole de
l'humanité.
Et aussi le nationalisme c'est la guerre.
Nous en avons encore la démonstration en Palestine.
A noter que le premier ministre isralien avait promis que les différents
cultes seraient respectés.
Bien sûr les promesses d'un nationalistes n'engagent que les crétins qui
les gobent.
C'est connu !
Sinon je vous demande d'avoir une pensée émue à l'endroit de tous les
connards avinés qui n'ont cessé de nous répéter ici et ailleurs que le
milliardaire vicitme de l'état profond qu'il finance, n'est responsable
de rien et qu'il n'a jamais provoqué de conflits.
Le premier ministre israélien, Benjamin Nétanyahou, à la tête du
gouvernement considéré comme le plus à droite de l’histoire
d’Israël, a lui salué un jour « historique »....
Le premier ministre israélien a aussi appelé les autres pays à suivre
l’exemple des Etats-Unis en reconnaissant Jérusalem comme capitale
d’Israël et en y transférant leurs ambassades. Aucun pays n’a son
ambassade en Israël à Jérusalem.
Donald Trump a aussi ordonné de préparer le transfert de l’ambassade
des Etats-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem. Le chef de la diplomatie
américaine, Rex Tillerson, a d’ailleurs précisé mercredi que le
département d’Etat américain allait lancer « immédiatement » les
préparatifs de ce déménagement,
Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a vivement
réagi, jugeant que les Etats-Unis sapaient « délibérément tous les
efforts de paix ». « Par ces décisions déplorables, les Etats-Unis
(…) proclament qu’ils abandonnent le rôle de sponsor du processus de
paix qu’ils ont joué au cours des dernières décennies », a dit M.
Abbas à la télévision palestinienne. Selon lui, l’annonce de M. Trump
« ne changera rien à la situation de la ville de Jérusalem, la capitale
éternelle de l’Etat de Palestine ».
M. Trump a « disqualifié les Etats-Unis d’Amérique de tout rôle dans
un quelconque processus de paix », a renchéri le secrétaire général
de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), Saëb Erakat.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas, de son côté, a jugé que cette
annonce ouvrait « les portes de l’enfer » pour les intérêts
américains dans la région. L’un de ses hauts responsables, Ismaïl
Radouane, s’exprimant devant des journalistes, a appelé les pays arabes
et musulmans à « couper les liens économiques et politiques » avec
les ambassades américaines, et à expulser les ambassadeurs américains.
Dans la bande de Gaza, des centaines de Palestiniens en colère ont
brûlé des drapeaux américains et israéliens et des portraits de Donald
Trump. Un rassemblement est prévu jeudi à Ramallah, en Cisjordanie,
territoire occupé par l’armée israélienne depuis cinquante ans.
Reconnaissant que son annonce était loin de faire l’unanimité,
M. Trump a lancé un appel « au calme et à la modération »,
espérant que « les voix de la tolérance l’emportent sur les
pourvoyeurs de haine ».