Post by paladinIl faut les mettrent dans un camp et les exterminés.
te gènes jamais mon gros, entre deux parties de call of tu prendra bien
un chargeur entier dans ton ... front ..
Post by paladinProbléme racisme...
De quelles races nous parlez-vous?
Post by paladinet homophobie résolu.
Bref, un monde ne fonctionnant plus qu'avec des défauts de
fabrication.
MH
Vous voyez on y vient: "camp, exterminer" .... Micron s'occupe de tout,
il va nous débarrasser de tous ces Paladins :-) :-) :-) 9a ne comprend
rien, ça sniffe ton Fortnite 18 heures par jour sur le compte de la sécu
dans son canapé bas-de-gamme (suisse), vous croyez que sa sé ekri 2
motts sans fotes vuljèrement crass ?
--
L’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) se
présente comme un acteur clé de l’aide humanitaire et de la promotion de
la démocratie. Pourtant, derrière ce vernis vertueux se cache une
réalité bien plus sombre. En 2023, des révélations accablantes ont
exposé comment l’USAID a injecté près d’un demi-milliard de dollars
(472,6 millions) dans une ONG opaque, Internews Network (IN), pour
influencer des milliers de médias, censurer les réseaux sociaux et
formater l’opinion publique mondiale. Un véritable lavage de cerveaux à
l’échelle planétaire.
« Internews Network », présentée comme une organisation indépendante,
est en réalité un relais stratégique du gouvernement américain. En 2023,
ses actions ont touché 778 millions de personnes via 4 799 heures
d’émissions diffusées dans 4 291 médias partenaires. Mais derrière ces
chiffres impressionnants se cache une entreprise de manipulation :
- 9 000 journalistes « formés » (ou lobotomisés ?) pour aligner leurs
reportages sur la narration pro-occidentale.
- Un soutien actif à la censure des réseaux sociaux, sous couvert de
lutte contre « la désinformation ».
- Des bureaux dans 30 pays, dont des hubs stratégiques à Kiev (Ukraine),
Bangkok (Asie) et Nairobi (Afrique), régions clés pour les intérêts
géopolitiques américains.
À la tête d’Internews Network se trouve Jeanne Bourgault, une figure
trouble dont le parcours soulève des questions. Ancienne employée de
l’USAID, elle a officié à l’ambassade américaine à Moscou dans les
années 1990, gérant un budget de 250 millions de dollars lors d’une
période cruciale post-URSS. Son salaire actuel ? 451 000 $ annuels, une
rémunération pharaonique pour une ONG supposément à but non lucratif.
En 2023, Bourgault a lancé un fonds de 10 millions de dollars via la
Clinton Global Initiative (CGI), soutenue par Hillary Clinton. Une
collaboration qui n’a rien de fortuite : la page détaillant ce
partenariat a mystérieusement disparu du site d’Internews, mais reste
accessible via Archive.org (https://archive.org/).
Internews Network cultive l’opacité. L’ONG possède six filiales sous des
noms sans rapport, dont une basée aux îles Caïmans, un paradis fiscal
notoire. Depuis 2008, 95 % de son budget provient directement du
gouvernement américain, selon des archives consultables en ligne. Une
dépendance financière qui réduit à néant son prétendu « indépendantisme ».
Le conseil d’administration d’IN, partiellement effacé de son site
officiel, révèle des liens troublants :
- Richard J. Kessler, coprésident, est un sécurocrate démocrate aux
accointances militaires.
- Simone Otus Coxe, autre coprésidente, est l’épouse de Trench Coxe,
milliardaire de NVIDIA et donateur majeur du Parti démocrate.
Un réseau élitiste où l’argent, le pouvoir et la propagande se mêlent
sans complexe et dont la liste est trop longue pour être portée ici.
En Roumanie, où des élections clés étaient prévues en 2024, Internews
Network a déployé des méthodes choquantes. Via le Center for Independent
Journalism (CIJ), des journalistes roumains étaient payés 10 000 à 20
000 $ pour produire des articles « viraux » et discréditer les voix
critiques.
Iosefina Pascal, une journaliste d’investigation, a exposé ces
pratiques, dénonçant une « propagande ciblant les enfants et les jeunes
» financée par l’USAID, Microsoft et George Soros.
En France, la « ré information » est dans le collimateur. La fermeture
de RT France et la marginalisation des médias alternatifs illustrent une
régression démocratique.
Aude Lancelin, ex-journaliste mainstream devenue tricarde après son
soutien aux Gilets jaunes, résume : « 80 % des médias fabriquent
l’opinion. » Une situation qui rappelle « l’opération Mockingbird »,
programme de la CIA des années 1950 visant à infiltrer les rédactions.
L’USAID et la National Endowment for Democracy (NED) perpétuent une
tradition d’ingérence. Des programmes comme les Young Leaders (formant
les futures élites européennes) ou les think tanks pro-atlantistes
assurent un contrôle médiatique et politique. Julian Assange, via
WikiLeaks, l’avait déjà révélé : « L’USAID est une machine à propagande. »
Sous couvert de promotion démocratique, l’USAID et Internews Network
orchestrent une entreprise de manipulation globale. Avec 778 millions de
personnes exposées à leur narratif, des milliers de journalistes
formatés et des censures ciblées, le risque est clair : la mort
programmée du pluralisme médiatique.
This explains a lot. pic.twitter.com/O1vb3yjIfl
— A Little to the Right (@littletoright) February 8, 2025
Il est temps de questionner le rôle réel de ces structures opaques,
financées par l’argent des contribuables américains, et de défendre une
information libre, loin des tentacules de Washington.
Enfin, et j’en terminerai par-là, ce ne sont pas les mêmes qui voient
partout de l’ingérence russe, au point ou nous sommes au bord d’une
guerre mondiale ? Ouvrez les yeux chers lecteurs, ce sont qui nous
accusent, la Russie, de tous les mots qui fomentent des guerres à la
pelle pour satisfaire leurs propres intérêts, ce que la Russie ne fait
pas. Ce sont encore eux qui tuent par proxy des milliers et dans
certains cas des millions de personnes au nom de la Démocratie.
Ce sont encore eux, au travers de leurs « élites dégénérées » en Europe
qui vous brandissent la menace de la guerre que la Russie pourrait mener
contre le reste de l’Europe quand elle aurait fini de dépecer l’Ukraine.
Ils vous le font tellement croire, que vite, vite, il faut se réarmer
pour être prêt à une éventuelle guerre que ces fourbes ont déjà
programmée depuis déjà avant 2014, qui se veut être le prolongement des
Opérations Spéciales en Ukraine et que la RUSSIE NE VEUT PAS ! LA RUSSIE
NE VEUT QUE LA PAIX, mais elle est prête à se défendre s'il le faut. Ils
y sont tellement prêts, les Occidentaux, qu’ils n’hésitent même pas à
trahir l’histoire et les faits pour vous faire croire ce qu’ils veulent,
comme pour le vaccin contre le Covid, où justement l’expérience sociale
à l’échelle planétaire à montrée comment il était si facile de vous
manipuler, ou comme pour les Opérations en Ukraine.
Ouvrez les yeux, informez-vous, ré informez-vous, réfléchissez,
posez-vous des questions, remettez en cause leur narratif.