John.D
2011-05-04 20:01:09 UTC
mercredi 4 mai 2011
http://herve-ryssen.blogspot.com/2011/05/dana-goldstein-la-veritable-
nature-du.html
Dana Goldstein a publié en ligne, au mois de janvier 2011, un texte très
critique à l'égard de la communauté juive ("la véritable nature du
judaïsme"). Elle-même d'origine juive, élevée dans une famille juive,
elle se place dans la longue lignée des juifs qui ont quitté le judaïsme
et qui se sont retournés contre la secte.
Depuis Ménélas, au IIe siècle avant J.C., qui préférait les Grecs à la
communauté d'hystériques d'où il était issu, jusqu'à la philosophe Simone
Weil au XXe siècle, en passant par Nicolas Donin, qui, à l'époque de
saint Louis, soulevait la population du Poitou contre les juifs et
encourageait le pape à détruire le Talmud, nombreux ont été les juifs qui
ont définitivement rompu avec la secte ennemie de l'humanité. Si tous les
juifs restaient juifs, d'ailleurs, ils seraient aujourd'hui innombrables.
Le judaïsme, en effet – contrairement aux apparences – est soluble dans
l'humanité, et c'est précisément ce qui épouvante les rabbins et les
chefs de la communauté juive, qui n'ont de cesse de mettre en garde leurs
congénères contre les mariages mixtes et la méchanceté des goys, qui sont
tous considérés comme potentiellement criminels… contre "l'humanité". Car
pour les juifs, adeptes de l'inversion, ce sont bien eux-mêmes et eux
seuls qui représentent "l'humanité". Les autres, c'est bien connu, ne
sont que de la "semence du bétail", ainsi qu'on peut le lire à maintes
reprises dans le Talmud.
Comme la plupart de ses prédécesseurs, Dana Goldstein qui a vécu le
judaïsme de l'intérieur, dénonce avec force la mentalité épouvantable de
ses anciens congénères, qui ont aussi le génie de se faire passer pour
des victimes. Ayant vécu dans une famille aisée, elle dénonce leur soif
d'argent et de pouvoir, qui semble insatiable.
Voici comment Dana Goldstein se présente elle-même à ses lecteurs : « Je
m'appelle Dana Goldstein. Je suis ashkénaze, née dans une riche et grande
famille juive installée en France depuis les années 1920 et dont de
nombreux membres ont été déportés pendant la seconde guerre mondiale […]
Etre Juif ou Juive, c'est vivre, consciemment ou non, dans une secte
oppressive, tyrannique qui applique la dictature de la pensée unique et
de l'action dirigée vers un seul but : le pouvoir. Les Juifs sont prêts à
tout, y compris, à se faire passer pour des victimes alors qu'ils sont
les véritables bourreaux de l'humanité. La Shoah, l'holocauste, sert
d'alibi à toutes les répressions, à toutes les intolérances, à tous les
esclavages […] Le peuple élu n'est pas un peuple de victimes. Leur
avidité, leurs actions parasitaires, leur haine, leur rancune sont
mondialement connues […] J'ai décidé contre vents et marées de dénoncer
ce que j'ai moi-même vécu à l'intérieur de cette secte juste parce que
j'étais différente et posais trop de questions dérangeantes […] Parents,
famille, amis et rabbins ont ruiné ma vie de femme Qu'il ne soit pas dit
que j'aurai été complice de cette politique au nom d'une solidarité juive
que je ne supporte plus. »
Voici encore ce qu'écrit Dana Goldstein dans son neuvième chapitre,
intitulée "Une Pierre à la place du cœur" :
« Le premier des constats, si douloureux depuis ma plus tendre enfance,
fut l'absence totale d'émotions et de sentiments de la part de mes
parents. Jamais de vrais bisous, jamais de vrais câlins, jamais ! Aucune
chaleur ! J'avais autour de moi des gens froids que rien ne pouvait
attendrir. Lorsque j'étais petite et en demande de tendresse,
d'attention, de douceur, je ne recevais que des bises vides et froides,
si j'insistais, j'étais rudoyée. Lorsque plus tard, je tentais de faire
intervenir leurs sentiments, leur compassion, je n'y arrivais jamais.
Même dans des situations extrêmes, ils étaient de marbre et n'avaient
aucune pitié. Ils n'accédaient à une demande que s'ils avaient un intérêt
à le faire. S'ils jugeaient pour x raisons, qu'ils n'en retiraient rien,
ils refusaient […] Dans la communauté juive, il n'est pas question de
sentiments, il n'est question que d'intérêts. Plus vous les servez, plus
vous êtes "aimé", ce qui veut dire honoré, récompensé et soutenu. Et
servir la communauté signifie acquérir pouvoir et puissance sur le monde
extérieur pour dominer les goys. Je fus éduquée selon le principe que
seul, l'argent compte car il apporte ce pouvoir […] Chez les juifs, les
décisions sont toujours prises de manière à aider l'autre à régler son
problème afin que la famille, la communauté soit protégée de toute
critique ou mauvaise publicité extérieure... et de toute fuite. Aussi, la
première règle enseignée est de posséder des biens et de l'argent, le
plus possible et par tous les moyens. Si un des membres de la communauté
faillit pour quelque raison que ce soit, il est soutenu pour protéger la
famille vis-à-vis de l'extérieur mais à l'intérieur, il est plus ou moins
"mal-aimé", malmené voire rabaissé selon les cas. S'il est soumis et ne
pose pas d'autre problème que de ne pas bien réussir socialement, il ne
sera pas honoré mais par contre épargné de problèmes plus graves, tandis
que si ce n'est pas le cas, il peut s'attendre au pire. »
Dans le chapitre suivant, Dana Goldstein résume en deux phrases la
véritable nature du judaïsme : « L'enfant juif tète la haine et le mépris
du goy comme le lait qui le nourrit, dès le berceau. Lorsqu'il est en âge
de comprendre, ses parents lui enseignent que le goy a toujours opprimé
et massacré son peuple, le peuple élu. Qu'il est donc une victime, un
martyr qui doit se défendre pour survivre. » Et un peu plus loin : «
L'enfant juif depuis son plus jeune âge sait qu'il fait partie du peuple
élu et que ce statut lui confère charge et responsabilité. Aussi, il
devient une victime des goys haineux, jaloux et cruels à son encontre
contre lesquels il doit se battre et se défendre pour survivre. Voilà ce
que les parents enseignent à leurs enfants : haïr tout goy parce qu'il
est l'ennemi. »
On trouve encore ces propos : « Les Gentils n'ont aucune idée du degré de
perversité de l'esprit juif. Ils ne peuvent l'imaginer car eux, à
l'opposé, sont dotés de cœur, de conscience, de compassion, finalement
d'un esprit sain. » Et Dana Goldstein s'indigne de leur double langage
perpétuel avec cette image en haute définition, venant d'une fille de
riches commerçants : « Chez les Juifs, il y a toujours la vitrine et
l'arrière-boutique, la scène et les coulisses. »
Répétons ce que nous avons déjà exprimé à quelques reprises : C'est à son
degré d'antisémitisme que l'on peut savoir si un juif a réellement quitté
le judaïsme. Un juif converti, qui ne serait pas antisémite,
effectivement, est toujours suspect de "marranisme", c'est-à-dire de
fausse conversion et d'infiltration.
Dana Goldstein, que nous avons le plaisir de connaître un peu, derrière
son pseudonyme, est assurément sortie du judaïsme. Mais elle dénonce
aussi le sionisme, qui en est une excroissance : « Les Juifs sionistes
cruels et monstrueux sont de vrais Juifs. C'est la véritable nature du
Juif qui se dévoile via le sionisme et Israël. »
Sur la question de la "double allégeance" des juifs de France (ou
d'ailleurs), elle répond tout naturellement : « Les Juifs habitant la
France sont d'abord et avant tout Juifs, la question ne se pose même pas.
» Et un peu plus loin dans le texte : « Si je prends mon cas personnel,
mes parents n'ont jamais aimé la France mais ne l'auraient pas quitté
autant pour Israël. Pourquoi ? Parce que la vie était plus agréable ici
selon leurs critères personnels mais ils n'ont aucune loyauté pour ce
pays. Il ne compte que pour ce qu'il a pu leur apporter, ce qu'ils ont pu
en retirer. Un point c'est tout. Moi même, j'ai vécu au Royaume Uni et ai
failli immigrer aux Etats-Unis. Mon frère et moi avons été élevés de
cette manière. Les Juifs prennent mais ne donnent rien, jamais !
Dans ma famille, ni mon frère ni aucun autre garçon n'a fait son service
militaire. Mon père comme mes oncles ne les auraient jamais laisser le
faire. Il en va de même pour tous les hommes que j'ai pu rencontrer tant
personnellement que professionnellement. Lorsque Hervé Ryssen nous dit :
"Pourquoi, en effet, aller risquer sa vie pour défendre un pays qui n'est
pas le sien ?" C'est tout à fait exact, les Juifs ne se sentent
absolument pas concernés par la défense de leur pays d'accueil. Ce n'est
qu'un pays d'accueil qui peut donc changer au gré des besoins et des
intérêts. Leur patrie est ailleurs. Elle est déjà communautaire et depuis
1948, elle s'est concrétisée par la création de l'état d'Israël. »
A la fin de cet ouvrage bien documenté, Dana Goldstein en arrive
finalement aux mêmes conclusions que celles de tous les antisémites
depuis la nuit de temps : « Malheureusement, comme vous avez pu le
constater, les Juifs ne savent pas construire. Ils ne savent rien créer
par eux-mêmes. Ce sont des parasites qui ne savent que manipuler pour
s'agripper sur leurs hôtes afin de les voler, les piller, et désormais
les priver de toute substance de vie. »
Dans son chapitre VIII, elle avait déjà exprimé des considérations de ce
genre : « Je voyais que les "valeurs" juives qui sont pour moi des non-
valeurs étaient progressivement devenues les nouvelles bases de la
société : mensonge, désinformation, illusion de l'apparence, vol, usure,
malversation, escroquerie, manipulation, intrigue, manigance, perversité,
inhumanité, cruauté et bien sûr le culte de l'argent, désormais seul
maître à bord de la planète Terre ! […] Mais je dis et répète, Tout Juif
est une arme de destruction massive dans la vie d'un Gentil pour la
simple raison que nous sommes programmés pour détruire la race humaine !
C'est notre seule et unique mission sur Terre. »
Si elle est sortie du judaïsme, Dana Goldstein ne s'est pas convertie au
christianisme pour autant, et rejette les religions monothéistes issues
de la souche juive. Cette démarche radicale est exceptionnelle, puisque
depuis l'ère chrétienne, et jusqu'à présent, tous les juifs qui avaient
quitté le judaïsme pour le combattre avaient agi au sein de l'Eglise
catholique (cf. notre Histoire de l'antisémitisme, 2010). Mais de par la
conscience aiguë de ce mal qui menace l'humanité, et de par l'énergie
avec laquelle elle le combat, Dana Goldstein se place bel et bien dans
cette longue lignée d'individus qui auront contribué au triomphe
universel des gens de bien. Hervé Ryssen
http://laveritablenaturedujudaisme.blogspot.com/
Publié par admin à l'adresse 15:37
http://herve-ryssen.blogspot.com/2011/05/dana-goldstein-la-veritable-
nature-du.html
Dana Goldstein a publié en ligne, au mois de janvier 2011, un texte très
critique à l'égard de la communauté juive ("la véritable nature du
judaïsme"). Elle-même d'origine juive, élevée dans une famille juive,
elle se place dans la longue lignée des juifs qui ont quitté le judaïsme
et qui se sont retournés contre la secte.
Depuis Ménélas, au IIe siècle avant J.C., qui préférait les Grecs à la
communauté d'hystériques d'où il était issu, jusqu'à la philosophe Simone
Weil au XXe siècle, en passant par Nicolas Donin, qui, à l'époque de
saint Louis, soulevait la population du Poitou contre les juifs et
encourageait le pape à détruire le Talmud, nombreux ont été les juifs qui
ont définitivement rompu avec la secte ennemie de l'humanité. Si tous les
juifs restaient juifs, d'ailleurs, ils seraient aujourd'hui innombrables.
Le judaïsme, en effet – contrairement aux apparences – est soluble dans
l'humanité, et c'est précisément ce qui épouvante les rabbins et les
chefs de la communauté juive, qui n'ont de cesse de mettre en garde leurs
congénères contre les mariages mixtes et la méchanceté des goys, qui sont
tous considérés comme potentiellement criminels… contre "l'humanité". Car
pour les juifs, adeptes de l'inversion, ce sont bien eux-mêmes et eux
seuls qui représentent "l'humanité". Les autres, c'est bien connu, ne
sont que de la "semence du bétail", ainsi qu'on peut le lire à maintes
reprises dans le Talmud.
Comme la plupart de ses prédécesseurs, Dana Goldstein qui a vécu le
judaïsme de l'intérieur, dénonce avec force la mentalité épouvantable de
ses anciens congénères, qui ont aussi le génie de se faire passer pour
des victimes. Ayant vécu dans une famille aisée, elle dénonce leur soif
d'argent et de pouvoir, qui semble insatiable.
Voici comment Dana Goldstein se présente elle-même à ses lecteurs : « Je
m'appelle Dana Goldstein. Je suis ashkénaze, née dans une riche et grande
famille juive installée en France depuis les années 1920 et dont de
nombreux membres ont été déportés pendant la seconde guerre mondiale […]
Etre Juif ou Juive, c'est vivre, consciemment ou non, dans une secte
oppressive, tyrannique qui applique la dictature de la pensée unique et
de l'action dirigée vers un seul but : le pouvoir. Les Juifs sont prêts à
tout, y compris, à se faire passer pour des victimes alors qu'ils sont
les véritables bourreaux de l'humanité. La Shoah, l'holocauste, sert
d'alibi à toutes les répressions, à toutes les intolérances, à tous les
esclavages […] Le peuple élu n'est pas un peuple de victimes. Leur
avidité, leurs actions parasitaires, leur haine, leur rancune sont
mondialement connues […] J'ai décidé contre vents et marées de dénoncer
ce que j'ai moi-même vécu à l'intérieur de cette secte juste parce que
j'étais différente et posais trop de questions dérangeantes […] Parents,
famille, amis et rabbins ont ruiné ma vie de femme Qu'il ne soit pas dit
que j'aurai été complice de cette politique au nom d'une solidarité juive
que je ne supporte plus. »
Voici encore ce qu'écrit Dana Goldstein dans son neuvième chapitre,
intitulée "Une Pierre à la place du cœur" :
« Le premier des constats, si douloureux depuis ma plus tendre enfance,
fut l'absence totale d'émotions et de sentiments de la part de mes
parents. Jamais de vrais bisous, jamais de vrais câlins, jamais ! Aucune
chaleur ! J'avais autour de moi des gens froids que rien ne pouvait
attendrir. Lorsque j'étais petite et en demande de tendresse,
d'attention, de douceur, je ne recevais que des bises vides et froides,
si j'insistais, j'étais rudoyée. Lorsque plus tard, je tentais de faire
intervenir leurs sentiments, leur compassion, je n'y arrivais jamais.
Même dans des situations extrêmes, ils étaient de marbre et n'avaient
aucune pitié. Ils n'accédaient à une demande que s'ils avaient un intérêt
à le faire. S'ils jugeaient pour x raisons, qu'ils n'en retiraient rien,
ils refusaient […] Dans la communauté juive, il n'est pas question de
sentiments, il n'est question que d'intérêts. Plus vous les servez, plus
vous êtes "aimé", ce qui veut dire honoré, récompensé et soutenu. Et
servir la communauté signifie acquérir pouvoir et puissance sur le monde
extérieur pour dominer les goys. Je fus éduquée selon le principe que
seul, l'argent compte car il apporte ce pouvoir […] Chez les juifs, les
décisions sont toujours prises de manière à aider l'autre à régler son
problème afin que la famille, la communauté soit protégée de toute
critique ou mauvaise publicité extérieure... et de toute fuite. Aussi, la
première règle enseignée est de posséder des biens et de l'argent, le
plus possible et par tous les moyens. Si un des membres de la communauté
faillit pour quelque raison que ce soit, il est soutenu pour protéger la
famille vis-à-vis de l'extérieur mais à l'intérieur, il est plus ou moins
"mal-aimé", malmené voire rabaissé selon les cas. S'il est soumis et ne
pose pas d'autre problème que de ne pas bien réussir socialement, il ne
sera pas honoré mais par contre épargné de problèmes plus graves, tandis
que si ce n'est pas le cas, il peut s'attendre au pire. »
Dans le chapitre suivant, Dana Goldstein résume en deux phrases la
véritable nature du judaïsme : « L'enfant juif tète la haine et le mépris
du goy comme le lait qui le nourrit, dès le berceau. Lorsqu'il est en âge
de comprendre, ses parents lui enseignent que le goy a toujours opprimé
et massacré son peuple, le peuple élu. Qu'il est donc une victime, un
martyr qui doit se défendre pour survivre. » Et un peu plus loin : «
L'enfant juif depuis son plus jeune âge sait qu'il fait partie du peuple
élu et que ce statut lui confère charge et responsabilité. Aussi, il
devient une victime des goys haineux, jaloux et cruels à son encontre
contre lesquels il doit se battre et se défendre pour survivre. Voilà ce
que les parents enseignent à leurs enfants : haïr tout goy parce qu'il
est l'ennemi. »
On trouve encore ces propos : « Les Gentils n'ont aucune idée du degré de
perversité de l'esprit juif. Ils ne peuvent l'imaginer car eux, à
l'opposé, sont dotés de cœur, de conscience, de compassion, finalement
d'un esprit sain. » Et Dana Goldstein s'indigne de leur double langage
perpétuel avec cette image en haute définition, venant d'une fille de
riches commerçants : « Chez les Juifs, il y a toujours la vitrine et
l'arrière-boutique, la scène et les coulisses. »
Répétons ce que nous avons déjà exprimé à quelques reprises : C'est à son
degré d'antisémitisme que l'on peut savoir si un juif a réellement quitté
le judaïsme. Un juif converti, qui ne serait pas antisémite,
effectivement, est toujours suspect de "marranisme", c'est-à-dire de
fausse conversion et d'infiltration.
Dana Goldstein, que nous avons le plaisir de connaître un peu, derrière
son pseudonyme, est assurément sortie du judaïsme. Mais elle dénonce
aussi le sionisme, qui en est une excroissance : « Les Juifs sionistes
cruels et monstrueux sont de vrais Juifs. C'est la véritable nature du
Juif qui se dévoile via le sionisme et Israël. »
Sur la question de la "double allégeance" des juifs de France (ou
d'ailleurs), elle répond tout naturellement : « Les Juifs habitant la
France sont d'abord et avant tout Juifs, la question ne se pose même pas.
» Et un peu plus loin dans le texte : « Si je prends mon cas personnel,
mes parents n'ont jamais aimé la France mais ne l'auraient pas quitté
autant pour Israël. Pourquoi ? Parce que la vie était plus agréable ici
selon leurs critères personnels mais ils n'ont aucune loyauté pour ce
pays. Il ne compte que pour ce qu'il a pu leur apporter, ce qu'ils ont pu
en retirer. Un point c'est tout. Moi même, j'ai vécu au Royaume Uni et ai
failli immigrer aux Etats-Unis. Mon frère et moi avons été élevés de
cette manière. Les Juifs prennent mais ne donnent rien, jamais !
Dans ma famille, ni mon frère ni aucun autre garçon n'a fait son service
militaire. Mon père comme mes oncles ne les auraient jamais laisser le
faire. Il en va de même pour tous les hommes que j'ai pu rencontrer tant
personnellement que professionnellement. Lorsque Hervé Ryssen nous dit :
"Pourquoi, en effet, aller risquer sa vie pour défendre un pays qui n'est
pas le sien ?" C'est tout à fait exact, les Juifs ne se sentent
absolument pas concernés par la défense de leur pays d'accueil. Ce n'est
qu'un pays d'accueil qui peut donc changer au gré des besoins et des
intérêts. Leur patrie est ailleurs. Elle est déjà communautaire et depuis
1948, elle s'est concrétisée par la création de l'état d'Israël. »
A la fin de cet ouvrage bien documenté, Dana Goldstein en arrive
finalement aux mêmes conclusions que celles de tous les antisémites
depuis la nuit de temps : « Malheureusement, comme vous avez pu le
constater, les Juifs ne savent pas construire. Ils ne savent rien créer
par eux-mêmes. Ce sont des parasites qui ne savent que manipuler pour
s'agripper sur leurs hôtes afin de les voler, les piller, et désormais
les priver de toute substance de vie. »
Dans son chapitre VIII, elle avait déjà exprimé des considérations de ce
genre : « Je voyais que les "valeurs" juives qui sont pour moi des non-
valeurs étaient progressivement devenues les nouvelles bases de la
société : mensonge, désinformation, illusion de l'apparence, vol, usure,
malversation, escroquerie, manipulation, intrigue, manigance, perversité,
inhumanité, cruauté et bien sûr le culte de l'argent, désormais seul
maître à bord de la planète Terre ! […] Mais je dis et répète, Tout Juif
est une arme de destruction massive dans la vie d'un Gentil pour la
simple raison que nous sommes programmés pour détruire la race humaine !
C'est notre seule et unique mission sur Terre. »
Si elle est sortie du judaïsme, Dana Goldstein ne s'est pas convertie au
christianisme pour autant, et rejette les religions monothéistes issues
de la souche juive. Cette démarche radicale est exceptionnelle, puisque
depuis l'ère chrétienne, et jusqu'à présent, tous les juifs qui avaient
quitté le judaïsme pour le combattre avaient agi au sein de l'Eglise
catholique (cf. notre Histoire de l'antisémitisme, 2010). Mais de par la
conscience aiguë de ce mal qui menace l'humanité, et de par l'énergie
avec laquelle elle le combat, Dana Goldstein se place bel et bien dans
cette longue lignée d'individus qui auront contribué au triomphe
universel des gens de bien. Hervé Ryssen
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