Canta Galet
2024-06-11 17:30:43 UTC
C'est bien toute la question et certainement là l'intention de Macron.
L'incompétence des dirigeants RN devrait normalement éclater au grand
jour d'autant que tous se gardent d'aller au fond des sujets quand ils
paradent sur les plateaux télé.
Pour la bonne raison qu'ils n'ont de solution à rien, sinon de dépenser
plus pour ruiner plus !
100 milliards de promesses auxuqelles il faut rajouter les 150 milliards
à trouver pour combler les déficits.
Sans réformes bien évidemment puisque les réformes ne sont pas
populaires.
Mais ça tout le monde le sait.
Dans tous les cas nous devrons payer... et cher !
Ceci étant le seul moyen de discréditer le RN, de le mettre en face de
ses mensonges, de ses contradictions, c'est de le mettre au gouvernement.
La réalité va les ramener à la raison et le RN rentrera dans le rang
dès lors qu'il aura et à assumer ses échecs et surtout à renier les
engagements qu'il ne pourra pas tenir.
Ensuite les français retourneront aux urnes dans trois ans...
Et de nouveau ils décideront.
Mais à ma connaissance jamais un parti n'est resté au pouvoir pour
l'éternité.
Qui sait si celui là ne battra pas des records de durée mais en terme de
brièveté !
Si la presse internationale tente de saisir les raisons du choix
d’Emmanuel Macron, l’hypothèse d’une cohabitation ne lui échappe
pas. L’influent quotidien turinois libéral La Stampa explore le
stratagème qui viserait à consumer le RN au contact du pouvoir : «
Trois ans de cohabitation (épuisante) entre Macron et l’extrême droite
conduiront aussi Le Pen et ses partisans à s’épuiser. A devoir
abandonner leurs tons d’opposants pour endosser ceux, souvent bien plus
inconfortables, d’institutions responsables. » L’objectif serait
aussi de « préserver le seul homme en qui Macron a vraiment confiance en
ce moment et dans lequel il pourrait investir pour l’avenir, son jeune
premier ministre, Gabriel Attal », avec l’élection présidentielle de
2027 en ligne de mire.
Un scénario repris par Le Temps. Dans son éditorial, le quotidien suisse
essaie de comprendre l’objectif de la manœuvre d’Emmanuel Macron. Une
fois installé à Matignon, l’« incompétence [du RN] sera alors
visible, spectaculaire, indéniable. Depuis la dernière élection
présidentielle, le RN mise tout, en effet, sur la discrétion et évite
toute polémique, quitte à ne pratiquement jamais s’exprimer sur le
fond des dossiers les plus compliqués ». Un stratagème cynique
« extrêmement dommageable (…). Avec un programme RN jugé
irresponsable, ne serait-ce qu’en termes budgétaires, le prix de ce
coup de poker serait énorme ». En mentionnant la popularité de
l’ancien président américain, Donald Trump, Le Temps rappelle que la
pratique du pouvoir par des populistes ne garantit en rien de futurs
échecs électoraux.
L'incompétence des dirigeants RN devrait normalement éclater au grand
jour d'autant que tous se gardent d'aller au fond des sujets quand ils
paradent sur les plateaux télé.
Pour la bonne raison qu'ils n'ont de solution à rien, sinon de dépenser
plus pour ruiner plus !
100 milliards de promesses auxuqelles il faut rajouter les 150 milliards
à trouver pour combler les déficits.
Sans réformes bien évidemment puisque les réformes ne sont pas
populaires.
Mais ça tout le monde le sait.
Dans tous les cas nous devrons payer... et cher !
Ceci étant le seul moyen de discréditer le RN, de le mettre en face de
ses mensonges, de ses contradictions, c'est de le mettre au gouvernement.
La réalité va les ramener à la raison et le RN rentrera dans le rang
dès lors qu'il aura et à assumer ses échecs et surtout à renier les
engagements qu'il ne pourra pas tenir.
Ensuite les français retourneront aux urnes dans trois ans...
Et de nouveau ils décideront.
Mais à ma connaissance jamais un parti n'est resté au pouvoir pour
l'éternité.
Qui sait si celui là ne battra pas des records de durée mais en terme de
brièveté !
Si la presse internationale tente de saisir les raisons du choix
d’Emmanuel Macron, l’hypothèse d’une cohabitation ne lui échappe
pas. L’influent quotidien turinois libéral La Stampa explore le
stratagème qui viserait à consumer le RN au contact du pouvoir : «
Trois ans de cohabitation (épuisante) entre Macron et l’extrême droite
conduiront aussi Le Pen et ses partisans à s’épuiser. A devoir
abandonner leurs tons d’opposants pour endosser ceux, souvent bien plus
inconfortables, d’institutions responsables. » L’objectif serait
aussi de « préserver le seul homme en qui Macron a vraiment confiance en
ce moment et dans lequel il pourrait investir pour l’avenir, son jeune
premier ministre, Gabriel Attal », avec l’élection présidentielle de
2027 en ligne de mire.
Un scénario repris par Le Temps. Dans son éditorial, le quotidien suisse
essaie de comprendre l’objectif de la manœuvre d’Emmanuel Macron. Une
fois installé à Matignon, l’« incompétence [du RN] sera alors
visible, spectaculaire, indéniable. Depuis la dernière élection
présidentielle, le RN mise tout, en effet, sur la discrétion et évite
toute polémique, quitte à ne pratiquement jamais s’exprimer sur le
fond des dossiers les plus compliqués ». Un stratagème cynique
« extrêmement dommageable (…). Avec un programme RN jugé
irresponsable, ne serait-ce qu’en termes budgétaires, le prix de ce
coup de poker serait énorme ». En mentionnant la popularité de
l’ancien président américain, Donald Trump, Le Temps rappelle que la
pratique du pouvoir par des populistes ne garantit en rien de futurs
échecs électoraux.