Buk
2025-02-06 22:56:51 UTC
Réponse
Permalinkdu conflit en Ukraine lors de la Conférence de Münich sur la sécurité,
qui doit se tenir du 14 au 16 février, a révélé Bloomberg ce 6 février.
Ce plan, porté par l’envoyé spécial Keith Kellogg, pourrait reposer sur
un gel du conflit ainsi que des garanties de sécurité à Kiev.
Selon plusieurs sources de Bloomberg, l’administration Trump serait sur
le point de présenter un «plan de paix» pour l’Ukraine.
D’après l'agence américaine, ce plan américain «tant attendu» devrait
être présenté aux alliés des États-Unis lors de la Conférence de Münich
sur la sécurité qui doit se tenir du 14 au 16 février. Une tâche qui
reviendrait à Keith Kellogg, envoyé spécial de Donald Trump pour la
Russie et l’Ukraine.
Selon l’agence, ce plan reposerait sur le principe de la «paix par la
force» et pourrait inclure l'instauration d'un cessez-le-feu sans
exiger de Moscou un retrait des territoires nouvellement intégrés. En
échange, Washington pourrait offrir des garanties de sécurité à
l’Ukraine «pour s'assurer que Moscou ne puisse pas attaquer à nouveau»
a relaté Bloomberg.
Début février, Keith Kellogg a déclaré à Reuters que les États-Unis
souhaitaient que des élections soient organisées en Ukraine une fois le
cessez-le-feu en place. Par ailleurs, Bloomberg a rappelé que Donald
Trump entendait passer un accord avec Kiev afin que les États-Unis
disposent d'un accès privilégié aux ressources naturelles ukrainiennes
en échange du soutien de Washington.
Zelensky se déclare prêt à négocier avec Poutine
Dans une interview accordée au journaliste britannique Piers Morgan,
diffusée le 4 février, Volodymyr Zelensky a déclaré qu’il était prêt à
négocier avec Vladimir Poutine. «Si c’est la seule configuration dans
laquelle nous pouvons apporter la paix aux citoyens de l’Ukraine et ne
plus perdre de gens, nous accepterons cette configuration, cette
réunion avec quatre participants» a-t-il déclaré, sans préciser quels
seraient les autres protagonistes.
Une position déjà esquissée fin janvier, qui prend le contre-pied de
l'un de ses décrets signé en octobre 2022 et interdisant toute
négociation avec la Russie tant que Vladimir Poutine en serait
président.
Ces déclarations ont été qualifiées le 5 février de «mots creux» par le
porte-parole du président russe Dmitri Peskov.
Mi-juin, le président russe Vladimir Poutine avait posé deux conditions
principales à l'ouverture de pourparlers de paix avec l'Ukraine : le
retrait des troupes ukrainiennes des républiques populaires de Donetsk
et de Lougansk et des régions de Zaporojié et de Kherson, ainsi que la
renonciation de Kiev à rejoindre l'OTAN. En outre, toutes les sanctions
imposées à la Russie doivent être levées.
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Il faut faire la guerre au capitalisme. C'est indispensable!
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