Discussion:
echec de la police ?
(trop ancien pour répondre)
guy veys
2005-01-10 09:48:07 UTC
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voiture brulées, affaires non élucidées etc.
c'est la justice qui ne permet pas a la police d'etre efficace
trop de lois tuent la loi les avocats et les juges le savent bien.
autre chose quand une affaire est résolue et un voyou condamné
c'est la vengeance qui se met en route et la plupart du temps c'est la
victime qui est obligée de fuir.
je ne suis pas dedroite ni facho je m'interroge sur les droits reels des
gens sans histoires qui se conforment à leurs devoirs ?
xxxx
2005-01-10 13:12:58 UTC
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Post by guy veys
je ne suis pas dedroite ni facho je m'interroge sur les droits reels des
gens sans histoires qui se conforment à leurs devoirs ?
Devant cette impunité, ils ont envie d'en faire autant puisque l'on voit des
escrocs détourner des sommes folles et être condamnées à une amende
ridicule.
Big Nose's Kates
2005-01-10 13:27:07 UTC
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Post by xxxx
Post by guy veys
je ne suis pas dedroite ni facho je m'interroge sur les droits reels des
gens sans histoires qui se conforment à leurs devoirs ?
Devant cette impunité, ils ont envie d'en faire autant puisque l'on voit des
escrocs détourner des sommes folles et être condamnées à une amende
ridicule.
Vous avez des exemples ??
Fred de Poitiers
2005-01-10 14:25:36 UTC
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Salut !
Post by Big Nose's Kates
Post by xxxx
Post by guy veys
je ne suis pas dedroite ni facho je m'interroge sur les droits reels
des
Post by xxxx
Post by guy veys
gens sans histoires qui se conforment à leurs devoirs ?
Devant cette impunité, ils ont envie d'en faire autant puisque l'on voit
des
Post by xxxx
escrocs détourner des sommes folles et être condamnées à une amende
ridicule.
Vous avez des exemples ??
Voire à pas d'amende du tout, sans parler des "responsables qui ne sont pas
coupables". Des exemples comme la mère Tibéri (et son rapport), la mère
Dufoix (et ses scanners), le père Juppé (et ses HLM), Douste Blazy (et son
vaccin contre l'hépatite), le fils Miterrand (ses armes, sa pècherie et sa
nationalité Mauricienne) ? A droite ? A gauche ? Les exemples ne manquant
pas, c'est le moins qu'on puisse dire...! Et quand vraiment il n'y a plus
rien à faire, il suffit de faire une loi pour s'auto-amnistier au nez et à
la barbe de tout un peuple, et là que ça soit de droite ou de gauche, ils
savent s'entendre en eux quand il s'agit de baiser les citoyens.
@+ bonne semaine,
FdP
xxxx
2005-01-10 15:42:54 UTC
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Post by Fred de Poitiers
Salut !
Post by Big Nose's Kates
Post by xxxx
Post by guy veys
je ne suis pas dedroite ni facho je m'interroge sur les droits reels
des
Post by xxxx
Post by guy veys
gens sans histoires qui se conforment à leurs devoirs ?
Devant cette impunité, ils ont envie d'en faire autant puisque l'on voit
des
Post by xxxx
escrocs détourner des sommes folles et être condamnées à une amende
ridicule.
Vous avez des exemples ??
Crozemarie a été condamnée à une amende inférieure à son détournement , idem
pour tarallo, sirven, etc..
les exemples ne manquent pas
UBUjean-jacques viala
2005-01-10 20:00:14 UTC
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On Mon, 10 Jan 2005 14:27:07 +0100, "Big Nose's Kates"
Post by Big Nose's Kates
Post by xxxx
Post by guy veys
je ne suis pas dedroite ni facho je m'interroge sur les droits reels
des
Post by xxxx
Post by guy veys
gens sans histoires qui se conforment à leurs devoirs ?
Devant cette impunité, ils ont envie d'en faire autant puisque l'on voit
des
Post by xxxx
escrocs détourner des sommes folles et être condamnées à une amende
ridicule.
Vous avez des exemples ??
ben le plus emblematique, c'st Henri Emmanuelli.

--
UBU
Tout le rêve de la démocratie est d'élever le prolétaire au
niveau de bêtise du bourgeois. Le rêve est en partie accompli.
Flaubert, en 1867
Sylvain Le Franc
2005-01-11 00:19:23 UTC
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Post by Big Nose's Kates
Post by xxxx
Post by guy veys
je ne suis pas dedroite ni facho je m'interroge sur les droits reels
des
Post by xxxx
Post by guy veys
gens sans histoires qui se conforment à leurs devoirs ?
Devant cette impunité, ils ont envie d'en faire autant puisque l'on voit
des
Post by xxxx
escrocs détourner des sommes folles et être condamnées à une amende
ridicule.
Vous avez des exemples ??
AFFAIRE AGOS - Mars 2002.
L'affaire Agos porte sur la création d'un emploi fictif de 1993 à 1995 au
sein
de la société Agos, filiale de l'AFRP, au profit de Cambadélis et ce pour un
montant de 450 000 francs. Poursuivi pour "recel d'abus de biens sociaux ",
ce
dernier a été condamné à 8 mois de prison de sursis et 500 000 francs
d'amende.

AFFAIRE AIRBUS - Juillet 2002.
Le 22 juillet 2002, le magazine allemand "Der Spiegel" révèle qu'une
salariée
d'Airbus récemment licenciée a déposé plainte devant un tribunal allemand
pour
licenciement abusif et mis en cause sa société dans une affaire de
financements
occultes. Selon elle, Airbus aurait financé illégalement la campagne
présidentielle de Lionel Jospin.

AFFAIRE DU CARREFOUR DU DÉVELOPPEMENT - Octobre 2001.
En juillet 1986, Christian Nucci, ancien ministre socialiste de la
coopération
est mis en cause dans le cadre de l'affaire du carrefour du développement.
Celui-ci est poursuivi par la justice pour complicité de détournement de
fonds
publics provenant de l'association "Carrefour du développement" qui était
chargée d'organiser le sommet franco-africain de Bujumbura en 1994. Le 25
septembre 1996, Nucci est condamné à 600 000 francs d'amende et son chef de
cabinet, Yves Chalier à 500 000 francs d'amende.

AFFAIRE DE LA CDDE - Juin 2002.
L'affaire de la CDDE porte sur la création présumée d'emplois fictifs,
effectués
par Jospin, lors de sa présidence au Comité départemental de développement
économique (CDDE) de Haute-Garonne de 1992 à 1996. En avril 2001,
l'association
de défense des contribuables a déposé une plainte à son encontre. Le 26
novembre
2001, la plainte contre Jospin pour des emplois fictifs a été jugée
irrecevable.

AFFAIRE CRÉDIT LYONNAIS - Aout 2001.
COMBINES ET « TRICHERIES » DE L'ETAT DANS L'AFFAIRE DU CREDIT LYONNAIS
La mise en examen de Jean-Claude Trichet pour « diffusion de fausses
informations au marché, présentation et publication de comptes sociaux
inexacts
» est symptomatique de la « corruption » du secteur bancaire français par
les
hommes de l'Etat. Il doit être clair qu'au-delà du rôle de quelques hauts
fonctionnaires dans les artifices comptables pour cacher les pertes de la «
plus
grande banque européenne », c'est l'Etat-actionnaire et gestionnaire et le
système d'entreprises publiques qui devraient se retrouver au « banc des
accusés
».Les faits reprochés dans le cadre de l'enquête sur les comptes du Crédit
Lyonnais en 1992 et 1993 à Jean-Claude Trichet, actuel gouverneur de la
Banque
de France, remontent à l'époque où il était directeur du Trésor. Après les
plaintes en 1996 du Ministre des finances Jean Arthuis et d'Alain Géniteau
(actionnaire minoritaire du Lyonnais) et les perquisitions à la Banque de
France
et au Trésor, le haut fonctionnaire est soupçonné d'avoir participé au «
maquillage » du bilan du Crédit Lyonnais.Représentant l'Etat (actionnaire
majoritaire de la banque) et avec l'appui de ses collègues du Conseil
d'administration, il aurait tout simplement dissimulé en 1992 les pertes en
sous-évaluant de 50% les risques-pays (correspondant à des pertes liées à
des
investissements effectués à l'étranger) et en prélevant 3,6 milliards de
francs
des provisions de l'année précédente. Résultat de l'artifice : le Crédit
Lyonnais a affiché pour l'exercice 1992 seulement 1,8 milliards de francs de
pertes au lieu de 45 milliards.En dépit de ce « lifting » comptable, la
banque
publique continuera à accuser des pertes (7 milliards de francs en 1993 et
12,1
milliards en 1994) et frôlera la « mise en faillite » par la Commission
européenne en 1998.Même si ce « scandale bancaire du siècle » présente une
certaine complexité financière et comptable, le contribuable ordinaire peut
et
doit comprendre les véritables causes de l'échec du Crédit Lyonnais, qui est
un
échec de l'Etat-gardien de l'intérêt général, de l'Etat-banquier et de
l'Etat-actionnaire.1) Tout d'abord, il faut se rendre à l'évidence qu'en
réalité
le système d'entreprises publiques (nationalisées) et le « capitalisme
d'Etat »
(certains préfèrent la notion de socialisme) permettent à une petite élite,
tels
un Jean-Yves Haberer (président du Crédit Lyonnais entre 1988 et 1993), un
Jean-Claude Trichet ou un Jean-Louis Butch (secrétaire général de la
Commission
bancaire en France), de faire valoir, aux dépens du contribuable, leurs
intérêts
et ambitions personnelles. On est très loin de l'Etat-gardien d'un intérêt
général quelconque. Quelle belle leçon de morale publique que de se mettre
dans
l'illégalité aux Etats-Unis pour affaires frauduleuses et de se commettre
avec
les escrocs.2) Ensuite, l'Etat s'avère un mauvais gestionnaire et un très
mauvais banquier. Un système nationalisé, à la différence du système de
banques
privées, pousse logiquement à l'irresponsabilité. Le banquier fonctionnaire
n'est pas la meilleure formule pour inciter le dirigeant à bien gérer les
risques et le patrimoine de la banque.3) Enfin, l'Etat-actionnaire est un
mauvais « propriétaire ». Alors que théoriquement les entreprises publiques,
comme le Crédit Lyonnais, sont la propriété de chaque citoyen, en réalité,
une
telle forme de propriété publique est source d'inefficacité et de
gaspillages.Ainsi, si l'affaire du Lyonnais fut possible, c'est parce que
l'Etat, actionnaire majoritaire et propriétaire de jure et de facto (ayant
le
pouvoir de contrôle), n'a pas agi correctement pour limiter les dégâts (à la
différence des propriétaires et actionnaires privés d'une banque qui sont
incités à chercher les informations et à sanctionner la mauvaise gestion).
La
collusion des parties, responsables de la gestion de la banque (Trésor,
Banque
de France, Ministre de l'économie, Commission bancaire) s'est faite aux
dépens
des véritables propriétaires théoriques-les citoyens-qui en
définitive vont payer la facture. Et des gadgets, comme la création en
1995 du Consortium de Réalisation (assumant les pertes du Crédit
Lyonnais) n'y changeront rien : les Français devront débourser dans
cette aventure au moins 100 milliards de francs.Mais les conséquences de
ce scandale vont au-delà des frontières hexagonales. En effet, la mise
en examen de Trichet, qui a été désigné comme le successeur de Wim
Duisenberg à la tête de la Banque Centrale Européenne à la mi-2002, ne
fait que rendre plus incertaine la gestion future de la monnaie unique et
renforce la méfiance des opérateurs sur le marché des changes
vis-à-vis de l'euro. L'affaire du Crédit Lyonnais n'aura contribué
qu'un peu plus à sa chute spectaculaire.En conclusion, le bon sens et la
justice exigent que l'Etat et les politiques se désengagent du domaine
bancaire et financier. Liberté, droits de propriété privée dans le
domaine de la banque et responsabilité bancaire vont ensemble et sont
indissociables.

AFFAIRE DU CREF - Mars 2002.
La Mutuelle de retraite de la fonction publique (MRFP, dite aussi
UNMRIFEN-FP)estl'organisme chargé de gérer les fonds de retraites du Cref
(ComplémentRetraitede la Fonction publique). En 1999, la Commission de
contrôle
desmutuelles et desinstitutions de prévoyance nationale (CCMIP)
chargel'Inspection générale desaffaires sociales (Igas) d'enquêter sur
sonfonctionnement. Le rapport de l'Igasest accablant. Outre les infractions
quantà la gestion du Cref, l'Igas constateque de nombreux
"administrateurspermanents bénéficient d'avantages importants"tels que des
"logements, desvoitures de fonction" et "le versement d'indemnitésnon
autorisées
parl'assemblée générale". Parmi les bénéficiaires cités dans lerapport, on
trouvel'ancien ministre socialiste et ex-président de la Fédérationnationale
de
lamutualité, René Teulade. Selon le même rapport, ce dernier auraitbénéficié
d'unappartement de 105 m2 pour un montant de 2400 francs. Prenantconscience
desdésastreuses répercutions politiques si de tels abus venaient àêtre sus
dupublic, les socialistes étouffent l'affaire.A leur grand
désarroi,l'affaire
duCref est relancée en décembre 2000, suite à la plainte d'un adhérent du
Cref
quiavait eu connaissance du rapport de l'Igas. Le 26 juillet 2001, le siège
de
laMutuelle de retraite de la fonction publique est perquisitionné en
présence
dujuge Albert. Peu de temps après, c'est au tour du Gaia (Gestion
administrationimmobilières associées), organisme chargé de la gestion du
patrimoine immobilierde la mutuelle d'être perquisitionné. L'enquête menée
par
le juge révèle que nonseulement les fonds du Cref avaient permis à des
cadres de
la mutuelle de menerun train de vie fastueux mais, qu'en plus, ils avaient
servi
à financer le PS età assurer un train de vie fastueux à ses dignitaires. En
1985, Jean-LouisVaucoret, alors président de la mutuelle, cède aux
socialistes
l'immeuble de larue de Solférino et futur siège du PS pour la somme de 53
millions de francsalors que, selon les prix du marché, il valait plus de 74
millions de francs ! L'enquête a également permis de révéler que les fonds
du
Cref servaient à financer le Matin de Paris, un journal proche du PS. De
nombreux dignitairessocialistes sont incriminés dans cette affaire. L'ancien
ministre socialiste Delebarre est accusé par un ancien responsable du Gaia,
Georges Pétret, d'avoir bénéficié de l'installation d'une cuisine équipée
d'une
valeur de plus de 100 000 francs. Pascal Beau, ancien délégué à la santé du
PS
et directeur de la revue Espace social européen, aurait perçu 725 000 francs
sous la forme "d'abonnements de soutien". En février 2002, une vingtaine de
cadres de la mutuelle dont René Teulade sont poursuivis par la justice pour
"abus de bien sociaux".

AFFAIRE DESTRADE - Aout 2001.
L'affaire Destrade porte sur le financement du PS et du MRG grâce
à desautorisations d'implantations degrande
surface. L'arrestation de Destrade etses aveux ont permis de lever unvoile
sur
cette affaire. D'après les résultatsde l'enquête, cette manne auraitplutôt
servi
à des courants internes. Ainsi,Jean Glavany (actuel ministre
del'Agriculture)
aurait été le gestionnaire decette manne financière pour lecompte des
jospiniens. Comme d'habitude,l'intermédiaire était Moatti, l'intimede
Jospin.Liste des personnes incriminées:Henri Emmanuelli poursuivi
pour"complicité d'abus de biens sociaux"

AFFAIRE DOMINIQUE ERULIN - Juin 2002.
Pour justifier la création de la cellule antiterroriste de l'Elysée,
destinée enréalité à protéger sa deuxième famille, Mazarine et sa mère
AnnePingeot,François Mitterrand va inventer de toutes pièces un attentat
virtuelcontre lui-même. Le choix de l'individu qui jouera le rôle, bien
malgré
lui,d'assassin s'est porté sur Dominique Erulin, un ancien soldat qui a
dirigé
leservice d'ordre de plusieurs dirigeants politiques de droite comme
ValéryGiscard d'Estaing, Alain Poher et Tixier-Vignancour.Le 9 décembre
1981, il
s'enest fallu de peu pour que Dominique Erulin soit assassiné à son propre
domicilepar des gendarmes à la solde de la Mitterrandie. L'opération "homo"
visant àassassiner Erulin est un échec. Qu'à cela ne tienne, les barbouzes
de
Mitterranddécident de monter un dossier bidon sur Erulin et six mois plus
tard,
un mandatd'arrêt international est lancé à son encontre. Grâce aux relations
qu'ilavaitnouées lorsqu'il travaillait pour la DGSE, Dominique
Erulindéjouerasuccessivement tous les guets-apens qui se dresseront sur son
chemin. Enjuin 1995, Chirac est élu président de la république. Sachant
pertinemment quesa vie n'était plus en danger, Dominique Erulin décide de
rentrer en France. Le11 janvier 1996, la cour d'assises de Paris le libère
de
toutes les charges etle relaxe.

AFFAIRE DOUCE - Février 2002.
Militant homosexuel, le pasteur Joseph Doucé est l'éditeur du mensuel
pédophile,
Gaie France Magazineet le gérant desabonnements. Il sert en outre
d'intermédiaire entre leproducteur de documentspédophiles Glencross
etl'éditeur
Michel Caignet. En juin1990, le père Glencrossest arrêté par la police qui
découvre dans son presbytèredes dizaines demilliers de documents pédophiles.
Il
est inculpé pour trafic dematérielpédophile. Le mois suivant,
l'intermédiaire
Joseph Doucé est enlevé, pardesinconnus. On retrouve son cadavre trois mois
plus
tard dans la forêtdeRambouillet. Après sa sortie de détention préventive, le
père Glencrossdécèded'une crise cardiaque. La mort providentielle des
protagonistes decetteaffaire, stoppant de facto le développement de
l'enquête
judiciaire, estuneaubaine pour le pouvoir en place gravement compromis dans
cetteaffaire.Eneffet, beaucoup d'éléments incriminent le porte-parole de
l'Elysée,HubertVédrine. Lorsqu'il se présente pour les élections municipales
deSaint-Léger-des-Vignes en 1977, c'est le presbytère du père Glencross qui
luisert de domiciliation fictive. Atterré par les ennuis judiciaires de son
amiGlencross, c'est Védrine lui même qui engage l'avocat socialiste
Jean-PierreMignard pour défendre le pasteur pédophile. De plus, une amie et
collaboratricede Doucé, Caroline Bianco témoigne de relations existantes
entre
Védrine etDoucé : "Je me souviens que le pasteur l'a rencontré en 1986. Il
est
venu dansles locaux du CCL (l'officine de Doucé) . Ce jour là, après la
visite
j'ai vu lepasteur Doucé qui a pris son air coquin, un grand sourire et les
yeux
malicieux,avant de me dire: "Je viens de recevoir la visite d'un homme
important: HubertVédrine"" (Minute, 11 mai 1994).Les Rg sont également mis
en
cause dans cetteaffaire. Doucé, homosexuel patenté qui avaient des entrées
dans
le monde gay apermis à des agents d'infiltrer des associations homosexuelles
jugéessubversives. En 1995, dans le cadre de l'enquête sur l'affaires des
écoutesillégales de l'Élysée, de nouveaux éléments sur cette affaire
apparaissent. Onsoupçonne des inspecteurs des RG d'être compromis dans
l'assassinat de Doucé.Ces nouveux éléments permettent de mieux comprendre
les
raisons qui ont pousséesle garde des sceaux, Pierre Arpaillange et le
ministre
de l'intérieur, PierreJoxe à démissionner.

AFFAIRE EDF - Aout 2001
L'ancien ministre de l'économie, Dominique Strauss Kahn a fait cette semaine
l'objetd'une « critique sévère »,annonce-t-on avec pudeur dans la presse. La
Cour desComptes lui reproche dessommes « somptuaires » versées par le
monopolepublicElectricité de France entre1994 et 1996 pour des honoraires de
consultant.Dansun document confidentiel surla gestion d'EDF, la cour des
comptes
s'étonne queDSK ait pu obtenir un contratde consultant avec une entreprise
publique quelquesmois après avoir été sonministre de tutelle. DSK avait été
en
effet ministre del'industrie entre 1991et 1993.Selon le document de la Cour,
dont Le CanardEnchaîné reproduisaitquelques extraits, DSK aurait donc perçu
environ 1,019million de francs surtrois années consécutives. La Cour
soulignait
l'insuffisance des termes ducontrat à l'origine, qui ne présentait aucune
indication sur le contenu de laprestation assurée. Effectivement, le
document
adressé à Monsieur Fabiussouligne « l'insuffisance des termes du contrat »
qui
mentionnait desrémunérations forfaitaires, sans que soit précisée ni la
nature
ni l'étendue desservices rendus. Outre l'aspect nébuleux du contrat en
question,
il apparaît deplus, au regard de l'enquête, que les notes de l'ancien
ministre
sur le débatautour de l'énergie, motif pourlequel DSK fut engagé, n'ont rien
apporté denotable sur le sujet. La Cour évoque à ce propos : « la faiblesse
desjustifications produites ».L'intéressé s'est empressé de déclarer que ces
«critiques » s'avéraient incompréhensibles et infondées. Il est vrai que
lesfaits tombent plutôt mal, au moment où, souhaitant s'être fait oublier
depuisles affaires des derniers mois, DSK esquissait un retour sur la scène
politique,avec une candidature à l'élection législative partielle dans le
val
d'Oise.Poursa défense, notre innocent, outré d'être ainsi montré du doigt,
se
contente derépondre que la pratique des abonnements est classique pour les
sociétés deconseil comme pour celles d'avocats et tente de justifier sa
rémunération,affirmant : « j'ai été choisi pour ce travail parce que j'étais
le
seul sur lemarché » !!Les traces du travail de ce personnage irremplaçable
demeurentpourtant virtuelles...Avec précaution, la Cour souligne qu'il est
difficilementacceptable que d'anciens ministres puissent disposer, peu de
temps
après avoirquitté leur fonction, de contrats avec les entreprises publiques
dont
ilsavaient la tutelle. Voici donc une illustration criante de vérité d'un
domainede l'analyse économique, celui du public choice, qui, depuis
longtemps,
met enlumière les travers et les écueils de la bureaucratie et dénonce la
main
misedes politiques sur l'économie.Les services publics dispensés aujourd'hui
par
laFrance non seulement montrent de sérieuses lacunes, au détriment
descontribuables et des usagers français, mais de surcroît, alimentent les
caissesprivées de certains de ses dirigeants, ou ex dirigeants.Quoiqu'il en
soit,rappelons que DSK a démissionné du gouvernement Jospin en novembre
1999,
avantsa mise en examen dans le cadre des déboires de la mutuelle étudiante
MNEF.
Surcette affaire, il va devoir comparaître devant le tribunal correctionnel
deParis pour « faux et usage de faux ». Il est également mis en examen dans
ledossier ELF et visé par une information judiciaire concernant la cassette
vidéode Jean-Claude Mery. Cela fait beaucoup pour celui qui était naguère un
piècemaîtresse du dispositif politique de Lionel Jospin et que certains
saluaientcomme un socialiste « libéral ». Socialiste oui, libéral au sens de
libre detout scrupule.

AFFAIRE ELF - AQUITAINE - Février 2002.
L'affaire Elf Aquitaine porte sur des commission occultes que la société Elf
Aquitaine aurait versées à des hiérarques dans le but de s'octroyer de
juteux
contrats et dont le montant approche les 300 millions de francs. Poursuivis
par
la justice, Le Floch-Prigent, PDG d'Elf, Dumas, ancien ministre socialiste,
et
sa maîtresse Devier-Jancourt seront condamnés respectivement à 3 ans et
demi , 6
mois et 18 mois de prison ferme.
Personnalités françaises également mises en
cause :L'ancienne garde des sceaux, Elisabeth Guigou dans le cadre de
l'affaire
de la raffinerie de Leuna.L'ancien président, François Mitterrand qui savait
"bien qu'au bout de ces actions de lobbying, il y a le versement de
bakchichs et
de pots-de-vin".L'ami personnel de François Mitterrand, Laurent Raillard a
été
mis en examen.

AFFAIRE FALCONE (VOLET FISCAL) - Mars 2002.
Au début des années 90, la société d'armement de Pierre Falcone est
déficitaire.
Pour renflouer les caisses de sa société, Pierre Falcone organise en 1993,
grâce
aux entremises de Jean-Christophe Mitterrand, une vente illicite d'armes
avec
les autorités angolaises pour une valeur de plus de 3 milliards de francs.
Mal
lui en pris puisqu'il est poursuivi par la justice et mis en examen, en
décembre
2000, pour "trafic d'armes". Les ennuis judiciaires ne font que commencer.
En
1998, le fisc réclame deux milliards de francs à Zts Ozos, la société de
Pierre
Falcone. N'étant pas en mesure d'honorer ce redressement fiscal, le marchand
d'armes aurait cherché à obtenir un allégement fiscal. Jacques Attali,
ancien
conseiller du président François Mitterrand, aurait été chargé par Falcone,
moyennant une rétribution de 1,5 millions de francs, de mettre en rapport
son
avocat Alain Guilloux et Hubert Védrine, alors ministre des affaires
étrangères.
Le rôle d'Hubert Védrine aurait été d'appuyer la demande de réduction
fiscale
exprimée par Falcone en intercédant en sa faveur auprès de Dominique
Strauss-Kahn, alors ministre de l'économie. La justice soupçonne
Strauss-Kahn
d'avoir fait bénéficié au marchand d'armes d'un allégement fiscal de
plusieurs
centaines de millions de francs. En décembre 2000, Pierre Falcone est mis en
examen pour "trafic d'influence, abus de biens sociaux et fraude fiscale".
Trois
mois plus tard, Jacques Attali est mis en examen pour "trafic d'influence et
recel d'abus de biens sociaux". Mars 2002, Hubert Védrine est entendu par la
justice qui souhaite avoir des précisions sur son rôle dans cette affaire.

AFFAIRE GIFCO - Aout 2001.
L'affaire Gifco porte sur le financement occulte présumé du PCF par la CGE
(Compagnie générale des eaux). En octobre 1996, Richard Béninger, Robert
Hue,
Georges Marchais et Pierre Sotura sont mis en examen pour "recel de trafic
d'influence". Aout 1999, Robert Hue est de nouveau mis en examen. Durant
l'année
2001, la justice se déclare incapable de poursuive l'affaire, faute de
preuves.

AFFAIRE DU FINANCEMENT DE GLOBE - Avril 2003.
Pour redorer son image qui s'est considérablement dégradée depuis son
accession
au pouvoir, Mitterrand organise, durant les années 1984 et 1985, le
lancement de
divers organes de presse dont le fameux Globe, un mensuel publié par
Georges-Marc Benhamou et sept autres associés. Face au problème de son
financement, les socialistes décident de le financer via Urba-Graccho et
Multiservices, deux officines du PS spécialisées dans le détournement de
fonds
via de fausses factures. Globe récolte ainsi un montant d'environ 1 550 000
francs.En mai 1992, faute de financements suffisants et d'un nombre
suffisant
d'abonnés (à peine plus de 1300 abonnés), la publication du Globe cesse. Les
socialistes ne l'enterrent pas pour autant. Ils lancent une seconde formule.
Le
mensuel devient hebdomadaire sous le nom de Globe Hebdo. Afin de pouvoir
capter
une manne d'argent beaucoup plus importante, les socialistes mettent en
place un
complexe et opaque réseau de montage financier via une douzaine de sociétés
différentes. Cette opacité doit permettre de cacher la véritable provenance
des
fonds à savoir les entreprises contrôlées par l'État. Le Crédit Lyonnais via
sa
filiale Clinvest va injecter 15 millions de francs. Le groupe d'assurances
GAN,
par l'intermédiaire de sa société Cofintex, cotisera à hauteur de 2.5
millions
de francs. Elf-Aquitaine, via la société Union Normande d'Investissement
(UNI),
apportera 20 millions de francs tandis que la Banque Commerciale Privée,
filiale
de l'UNI, apportera 7.5 millions de francs. Enfin, 15 millions de francs
seront
versés via Contemporains Associés par le Comptoir des Entrepreneurs dirigé
par
le socialiste Jean-Jacques Piette et diverses sociétés appartenant à Pierre
Bergé. La société Européens et Associés, éditrice de Globe Hebdo, reçoit
ainsi
en toute illégalité 60 millions de francs. En 1994, Philippe Jaffré succède
au
socialiste Loïk Le Floch-Prigent à la tête d'Elf-Aquitaine. Ayant essuyé un
refus catégorique de la part d'Elf-Aquitaine quant à une rallonge
supplémentaire
de 20 millions de francs, Georges Benhamou est contraint, en juillet 1994,
d'arrêter définitivement la publication de Globe.

AFFAIRE DES IRLANDAIS DE VINCENNES - Février 2002.
Sous le coup de l'attentat des rosiers, la cellule antiterroriste de
l'Élysée
organise un montage pour justifier l'arrestation, le 28 août 1982, de trois
irlandais : Stephen King, Mary Reid et Michael Plunket. Le capitaine Barril
est
chargé d'introduire au domicile des irlandais trois pistolets, un pain de
plastic et 3,5 mètres de mèche lente. La supercherie ayant été mise à jour,
les
trois individus accusés à tort de terroristes sont relâchés le 5 octobre
1983.
En 1992, Antoine Comte, avocat des irlandais, dépose plainte contre X pour
attentat à la liberté et faux en écritures publiques. Le 4 avril 2001, le
capitaine Barril est mis en examen par le juge Madre pour "atteinte à la
liberté
individuelle".

AFFAIRE JOSEPHINE - Juillet 2002.
Le 20 novembre 1979, des bédouins du Hedjaz, dirigés par Mohammed Abdallah
El
Oteiba attaquent la grande Mosquée de la Mecque. 304 individus dont 127
gardes
nationaux sont tués. Afin de se prémunir contre toute contre-attaque de la
part
des forces de l'ordre, les terroristes prennent des otages. A la demande des
Saoudiens, la France charge le capitaine Barril, alors à la tête du Groupe
d'Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN), d'intervenir dans cette
prise
d'otages. Le 25 décembre 1979, les terroristes sont neutralisés. La France
est
chaudement remerciée pour avoir délivré un lieu saint.Considérant qu'ils
avaient
une dette morale envers la France, les saoudiens consentent, quatre ans plus
tard, à lui faire un prêt de 25 milliards de dollars remboursables sur 20
ans.
Seulement voilà, l'intégralité du prêt ne sert pas à renflouer les caisses
de
l'Etat. Outre les sommes considérables prélevées par des intermédiaires, 2.5
milliards de dollars auraient été déposés sur des comptes suisses détenus
par
des hauts dignitaires socialistes. Considérant qu'ils n'avaient pas eu leur
part
sur ce prêt, des intermédiaires vendent la mêche au juge Thierry
Jean-Pierre.
Sachant pertinemment que la justice enquêtait sur ce détournement de fonds,
des
protagonistes de l'affaire se seraient rendus, le 5 mai 1996, au siège
parisien
du Crédit Lyonnais et auraient fait disparaitre les archives concernant le
prêt
saoudien. Quelques semaines plus tard, la juge Martine Bernard est chargée
par
la justice d'enquêter également sur cette affaire.

AFFAIRE LAGERFELD - Aout 2001.
Pour obtenir la cassette originale des aveux de Jean-Claude Méry détenue par
Alain Belot, avocat de Lagerfeld, Strauss-kahn fit bénéficier au couturier
d'une
réduction fiscale injustifiée d'un montant de 50 millions de francs au mois
d'aout 1999. En outre, la justice soupçonne Strauss-Kahn d'avoir octroyé à
Lagerfeld une exonération fiscale de 160 millions de francs. Le 23 mai 2001,
la
section financière du parquet de Paris a requis la saisine de la Cour de
justice
de la République pour "concussion" et "corruption passive".

AFFAIRE LUCHAIRE - Janvier 2002.
Durant les années 80, la société d'armement Luchaire, bénificiant de l'appui
de
l'Elysée, exporte illicitement 400 000 obus de 155 mm et 203 mm à
destination de
l'Iran. Le 9 novembre 1987, l'affaire Luchaire éclate au grand jour. La
semaine
suivante, le PS est incriminé dans cette affaire. On le soupçonne d'avoir
perçu
des commissions lors de ces ventes frauduleuses d'armement. Le 16 juin 1989,
le
juge d'instruction rend un non-lieu, considérant que ces livraisons étaient

la limite de l'illégalité".

AFFAIRE DES MARCHES DES LYCÉES D'ÎLE DE FRANCE - Aout 2001.
Communément appelés, la pompe à finance du PS, les marchés des lycées d'Île
de
France ont constitué une manne importante d'argent pour le financement du
PS. Il
faut savoir que sur les contrats de constructions et rénovations des lycées
de
1989 à 1996, il était prélevé 2 % de commissions occultes dont 0.8% allait
au
parti. En tout, cela représente quelques 600 millions de francs qui ont été
distribué au différents partis au pouvoir. L'AFPS qui était au coeur
du financement des partis de gauche avait comme trésorier Emmanuelli.
Lors de l'enquête visant à prouver la matérialité du trafic
d'influence, Moscovici, successeur de Emmanuelli, de 1992 à 1994, niera
tout en bloc malgréles lourds soupçons.

AFFAIRE DE LA MGP - Juillet 2002.
Le 25 juin 2002, le syndicaliste socialiste Bernard Deleplace, ancien patron
de
la Fédération Autonome des Syndicats de Police, est entendu par les
enquêteurs
de la Brigade de Répression de la Délinquance Financière (BRDE). Suite à la
publication d'un rapport de la Cour des Comptes mettant en cause la Mutuelle
Générale de la Police (MGP), la justice a chargé la BRDE d'enquêter sur la
gestion des fonds de la mutuelle. Cette dernière soupçonne les principaux
dirigeants de la MGP d'avoir détourné environ 150 millions de francs. Cette
somme aurait servi essentiellement à acheter puis à rénover l'immeuble de la
rue
Solférino qui deviendra le futur siège du PS.

AFFAIRE DE LA MNEF - Novembre 2001.
L'affaire de la Mnef porte sur le financement du PS et de ses satellites
(CFDT,
FO, SOS-RACISME, UNEF-ID, etc.) grâce aux mutuelles estudiantines. Bien
qu'ils
aient mis au placard le chef de la section financière du parquet de Paris
Anne-José Fulgeras et confié la commission d'enquête à Alain Tourret ( PRG )
pour étouffer l'affaire, l'enquête pût se poursuivre grâce à l'initiative
des
juges Armand Riberolles, Marc Brisset-Foucault et Françoise Néher. Les
sommes
détournées au dépend de la sécurité sociale et de ses adhérents
s'élèveraient à
plusieurs milliards de francs. On estime à plus de 300, les militants
socialistes qui ont perçu des salaires fictifs de la Mnef. Le 9
septembre 1998, une information judiciaire visant trois sociétés
sous-traitantes
de la MNEF est ouverte. Elle provoque la démission d'Olivier Spithakis, le
numéro 2 de la MNEF et la mise en cause de plusieurs responsables
socialistes.
Le 12 janvier 1999, une deuxième information judiciaire concernant cette
fois-ci
des emplois fictifs, des opérations immobilières douteuses et des largesses
indûment consenties aux filiales est ouverte. Soupçonné d'avoir financé des
élus
en leur fournissant gratuitement des travaux d'impression, l'ancien
directeur
d'EFIC (imprimerie de la MNEF), Bruno Pelletier, est extradé du Togo et
placé le
28 juin 1999 en détention. Le 14 octobre 1999, un ancien responsable de la
MNEF,
Philippe Plantagenest, est mis en examen. Deux semaines plus tard, c'est au
tour
d'Olivier Spithakis d'être mis en examen pour faux et usage de faux. Le 9
décembre 1999, Thierry de Haynin, ancien responsable de la SPIM,
sous-filiale de
la MNEF, est mis en examen. Le 14 décembre 1999, Strauss-Kahn est mis en
examen
pour faux et usage de faux. Cette mise en examen marque le début d'une
longue
série de mises examen visant des responsables socialistes ainsi que des
organisations proches du PS. Quelques mises en examen :Beau, pascal : Ancien
délégué à la santé du PS, il est mis en examen le 20 avril 2000.Bernardini,
François : Député PS des Bouches du Rhone, il est mis en examen le 29
octobre
1999 pour recel de détournement de fonds publics. Après avoir comparu devant
la
11ème chambre du tribunal correctionnel de Paris, il a été relaxé le 7
novembre
2001.Borgel, Christophe : Adjoint PS au maire du XIXème arrondissement de
Paris.
Il est mis en examen le 2 mars 2000 pour recel d'abus de fonds publics. On
le
soupçonne d'avoir perçu, entre 1991 et 1993, 320 000 francs de la mutuelle
interprofessionnelle (MIF), un organisme lié à la MNEF.Cambadélis,
Jean-Christophe : Numéro deux du PS, il est mis en examen le 7 juin 2000
pour
recel d'abus de confiance. On le soupçonne d'avoir perçu de 1991 à 1995 une
rémunération de la part de la mutuelle interprofessionnelle (MIF), un
organisme
lié à la MNEF, et d'avoir reçu entre 1993 et 1995 environ 200 000 francs en
tant
qu'administrateur.Lavarini, Marie-France : Ancienne conseillère de Jospin,
elle
est mise en examen, le 28 mars 2000, pour un présumé emploi fictif.Le Guen,
Jean-Marie : Député PS de paris, il est mis en examen le 6 juin 2000 pour
recel
de détournements de fonds publics.Strauss-Kahn, Dominique : Ancien ministre
socialiste de l'Économie et des Finances, il est mis en examen le 14
décembre
1999 pour faux et usage de faux. On lui reproche d'avoir bénéficié d'une
prestation fictive d'un montant de 603 000 francs. Après avoir comparu
devant la
11ème chambre du tribunal correctionnel de Paris, il a été relaxé le 7
novembre
2001. Le 9 mai 2000, la Fédération CFDT de la protection sociale et la
Fédération FO des employés et cadres ont été mis en examen pour recel de
détournement de fonds publics. Ils sont soupçonnés d'avoir fait rémunérer,
de
1993 à 1999, deux permanents par des fonds détournés de la MNEF pour un pour
un
montant de 2,5 millions de francs.Le 8 juin 2000, UNEF-ID est mise en examen
pour recel de détournement de fonds publics. On soupçonne quatre de ses
responsables d'avoir bénéficié indûment de rémunérations de la part de la
MNEF.Le 8 juin 2000, SOS-RACISME est mis en examen pour recel d'abus de
confiance. Elle est soupçonnée d'avoir fait rémunérer, de 1994 à 1995, un de
ses
permanents par des fonds détournés de la MNEF.

AFFAIRE DES COMPTES DE L'OM- Novembre 2001.
L'affaire des comptes de l'OM porte sur le détournement de fonds appartenant
à
l'OM. De 1987 à 1993, 110 millions de francs ont ainsi été détournés par le
truchement de "prêts" et de commissions exorbitantes. Le 12 mars 1996, Tapie
est
mis en examen pour "faux et usage de faux, abus de confiance et abus de bien
sociaux". Dix-neuf autres personnalités, dont le directeur administratif et
financier de l'OM, Alain Laroche sont également incriminées dans cette
affaire.
Le 12 mai 1997, Tapie écope de trois ans de prison dont six fermes. Tapie
fait
appel. En juin 1998, celui-ci est condamné à trois ans de prison avec
sursis, à
300 000 francs d'amende et à cinq ans de privation de ses droits civils et
civiques.

AFFAIRE OM-VA - Novembre 2001.

L'affaire OM-Valenciennes porte sur une
"corruption active et passive" effectuée par le radical Bernard Tapie, alors
président de l'OM, sur des joueurs de football afin d'organiser un match
truqué
entre l'Olympique de Marseille et Valenciennes en mai 1993. En avril 1995,
Jack
Mellick, ancien ministre socialiste est condamné à six mois de prison avec
sursis et à deux ans d'inéligibilité pour "subornation de témoin". Après
avoir
été mis en examen le 10 février 1994, Bernard Tapie est condamné, le 28
novembre
1995, à deux ans de prison dont huit mois fermes, à trois ans
d'inéligibilité et
à 20 000 francs d'amende pour "complicité de corruption" et "subornation de
témoins" . En mars 1997, Mellick est condamné par la justice à un an de
prison
avec sursis, à cinq ans de privation de ses droits civiques et à 30 000
francs
d'amende pour "faux témoignage" en faveur de Bernard Tapie. Enfin, en juin
1998,
Tapie est condamné à trois ans de prison avec sursis "pour faux, usage et
recel
de faux, abus de confiance et de bien sociaux".

AFFAIRE PECHINEY - Novembre 2001.
En janvier 1989, Roger-Patrice Pelat, un proche de Mitterrand, est mis en
cause par la justice pour "délit d'initié". Bénéficiant de la protection du
ministre des finances Bérégovoy et du président Mitterrand, celui-ci toucha
des
subsides lors de l'OPA de Péchiney sur la société Triangle qui s'élevèrent à
11
millions de francs. Cette instruction judiciaire a permis de faire état d'un
réseau de paradis fiscaux dont les principaux bénéficiaires furent François
Mitterrand et Alain Boublil. Le 7 novembre 1991, Alain Boublil est inculpé
pour
"délit d'initié" par la justice. En décembre 1993, de "graves présomptions
d'abus de biens sociaux" pèsent sur Mitterrand.

AFFAIRE DU PHOCEA - Novembre 2001.
Le 29 juin 1994, Bernard Tapie est mis en examen pour "fraude fiscale et
abus de biens sociaux". La justice lui reproche, tout d'abord, de ne pas
avoir
déclaré au fisc, l'avantage en nature, évalué à plus de douze millions de
francs, obtenu par l'utilisation de son yacht, le Phocéa, de 1989 à 1991.
Ensuite, celle-ci lui reproche d'avoir bénéficié d'un prêt de quatre-vingt
millions de francs, accordé par la SDBO (Société de Banque occidentale),
filiale
du Crédit lyonnais en contrepartie de l'hypothèque de son Yacht. Le 4 juin
1997,
Tapie est condamné à dix-huit mois, dont six ferme, pour "fraude fiscale",
et à
trente mois avec sursis, plus interdiction de gérer pendant dix ans, pour
"abus
de biens sociaux".

AFFAIRE RAINBOW WARRIOR - Décembre 2001.
La poursuite des
essais nucléaires dans le pacifique Sud suscite de vives oppositions. En
1985,
l'organisation anglo-saxonne, GreenPeace, décide de dépêcher un navire, le
Rainbow Warrior, afin de saboter ces essais. Le gouvernement français fait
appel
à la DGSE pour mettre cette menace hors d'état de nuire. L'amiral Pierre
Lacoste, chef des services secrets français, lance l'opération Satanic. Deux
agents de la DGSE, les époux Turenge sont chargés de détruire le Rainbow
Warrior. L'opération, qui s'est déroulée le 10 juillet, tourne au désastre.
Certes, le navire a été coulé mais au prix de la mort d'un photographe
portugais. De plus, les époux Turenge ont été arrêtés par la police
néo-zélandaise à Auckland. Le scandale finit par éclater en France. Le
ministre
de la défense Charles Hernu et l'amiral Pierre Lacoste sont limogés.

AFFAIRE SANG CONTAMINE- Juillet 2001.
L'affaire du sang contaminé porte sur l'injection,
connue des milieux scientifiques et politiques, de plaquettes de sang
contaminé
par le sida à des hémophiles de 1983 à 1985. Pour avoir refusé la
proposition de
technique de chauffage du laboratoire Immuno en 1984 ce qui aurait limité le
nombre des victimes, le docteur Garetta a été condamné à 4 ans de prison
ferme.
Laurent Fabius, ancien ministre de l'industrie est mis en cause dans cette
affaire pour avoir refusé d'octroyer 2 millions de francs de subventions
pour
faire des réaliser des tests sur des enfants hémophiles atteints du sida. Le
7
juillet 2002, la chambre de l'instruction de Paris a rendu un non-lieu en
faveur
d'une trentaine de personnes dont Fabius. On parle de 7 morts et de plus de
5000
victimes.Personnalités également mises en cause :Hedmond HervéGeorgina
Dufoix,
ancienne député et ministre socialiste

AFFAIRE TESTUT - Novembre 2001.
L'affaire Testut porte sur des prélèvements abusifs réalisés par les
sociétés de Bernard
Tapie sur l'entreprise de pesage Testut. Le 22 décembre 1993, Tapie est mis
en
examen pour "abus de biens sociaux". Le 1er juillet 1996, Tapie est condamné
à
deux ans de prison avec sursis, à 300 000 francs d'amende et à cinq ans
d'interdiction de gérer.

AFFAIRE URBA - Aout 2001.
L'affaire Urba porte sur les
conditions d'attribution des marchés publics de la ville de Marseille de
janvier
1987 à février 1989. Pour financer les partis politiques, la société de
travaux
publics SAE (Société auxiliaire d'entreprises) honorait les fausses factures
émises principalement par le bureau d'étude socialiste Urba Technic. Comme
pour
l'affaire des marchés truqués des lycées d'île de France, le prélèvement
pour
des commissions occultes représentait 2% dont 30% allait au trésor du PS. En
tout, près de 13 millions de francs ont été ramassés grâce à de fausses
factures. En tant que trésorier du PS, Henri Emmanuelli, a été reconnu
coupable
de "complicité de trafic d'influence" et condamné à dix-huit mois de prison
avec
sursis. André Laignel, qui avait également été mis en examen pour
"complicité de
trafic d'influence" a été relaxé.Liste des personnes incriminées :Henri
Emmanuelli, trésorier PSAndré Laignel, ancien trésorier PSMichel Pezet,
ancien
député PS, ancien président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et
ex-premier secrétaire de la fédération PS des Bouches-du-RhôneJanine
Ecochard,
ancien députés PSPhilippe Sanmarco, ancien député PS des
Bouches-du-RhôneJean-Claude Boulard, conseiller général PS de la Sarthe

AFFAIRE VIBRACHOC - Février 2001.
L'affaire Vibrachoc porte sur le détournement d'argent
public, opéré par des proches de l'Elysée, lors de l'achat de la société
Vibrachoc. En 1982, Georges Péberau, alors pdg de la Compagnie Générale
d'Électricité (aujourd'hui Alcatel), achète sur ordre de l'Elysée et par
l'intermédiaire d'Alsthom, la société de Roger-Patrice Pelat, Vibrachoc.
Cette
affaire est très profitable pour Pelat, un proche de Mitterrand puisqu'il
obtient de la vente de sa société 110 millions de francs alors qu'elle
n'était
estimée par les services financiers d'Alsthom qu'à 60-65 millions de francs.
Le
montant de la majoration de la valeur de l'entreprise, c'est à dire 43.5
millions de francs est versé à une société écran basée au Luxembourg,
Arfina.
Roger-Patrice Pelat obtient 25 millions de francs de commissions pour cette
transaction délictueuse. Sa mort providentielle au début de l'enquête évite
que
l'entourage de l'Elysée soit éclaboussé par cette affaire.
--
«fondamentalement, le national-socialisme et le marxisme sont la même
chose».
Les nazis étaient de gauche, par Adolf Hitler, février 1941.
®®®©©©
2005-01-11 06:54:35 UTC
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Post by Sylvain Le Franc
Post by Big Nose's Kates
Vous avez des exemples ??
AFFAIRE AGOS - Mars 2002.
L'affaire Agos porte sur la création d'un emploi fictif de 1993 à 1995
au sein de la société Agos, filiale de l'AFRP.....
PAS DU TOUT ! L'affaire Agos est bien plus scabreuse que ça, tu oublies
l'essentiel, les malversations de Yves Laisné et Denis Daudé :

La société Agos, filiale de l'AFRP (association des foyers de la région
parisienne), était dirigée par Yves Laisné, un ancien cadre du FN.

"Rappelons qu'Yves Laisné était le président d'une association, l'AFRP
(association des foyers de la région parisienne), qui gérait plus d'une
trentaine de foyers dans la région parisienne et était en conflit depuis
plusieurs annés avec les résidents. Ceux-ci, réunis en association,
avaient engagé plusieurs actions civiles et pénales contre l'AFRP et son
dirigeant, l'AFRP ayant finalement déposé son bilan et ayant été
liquidée.

Une action intentée contre Yves Laisné et l'AFRP sur la base de
l'article 225-14 du nouveau code pénal qui réprime les conditions
d'hébergement contraires à la dignité humaine a été rejetée par la Cour
d'appel de Paris le 19 janvier 1998 (voir Bilan 98).

Mais le parquet de Paris avait de son côté engagé une action pénale
contre Yves Laisné pour abus de biens sociaux et abus de confiance, en
raison de malversations commises au préjudice de l'AFRP."

http://www.gisti.org/doc/bilans/1998/3-4.html#Laisne
http://www.gisti.org/doc/bilans/1999/3-4-2.html

Yves Laisné, qui fut un moment membre du Front national, a été condamné
à 15 mois de prison avec sursis et 500.000 francs d'amende pour des
malversations financières dans les foyers.

Denis Daude

Beau-fils de Pierre Faillant de Villemarest et petit-neveu du Docteur
Martin, membre historique de la Cagoule. Denis Daude s'est spécialisé,
dans les années quatre-vingt, dans la formation des élus frontistes au
travers de l'association Clergerie. Dans la même période, il s'est
intéressé au logement social. D'abord à travers l'Association pour le
logement des mères en détresse (ALMD), puis au sein de l'Association des
foyers de la région parisienne (AFPR), où il participa activement aux
montages très contestés de son ami Yves Laisné, ancien membre du Comité
central du FN (cf. Le FN et l'argent de l'establishment par Blandine
Hennion, La Découverte, 1993). Depuis, Yves Lainé a été mis en examen
pour avoir versé un salaire fictif à Jean-Christophe Cambadélis
(fondateur du Manifeste contre le FN et n° 2 du Parti socialiste)).
Denis Daude milite aujourd'hui au Grece d'Alain de Benoist. Conseiller
municipal de Vernouillet (Eure-et-Loire) et conseiller régional du
Centre.
En 1998, il fut pressenti pour succéder à Bernard Courcelle à la tête du
DPS si celui-ci avait abandonné ses fonctions lors de l'affaire
tchétchène.
UBUjean-jacques viala
2005-01-11 19:15:14 UTC
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Post by ®®®©©©
Post by Sylvain Le Franc
Post by Big Nose's Kates
Vous avez des exemples ??
AFFAIRE AGOS - Mars 2002.
L'affaire Agos porte sur la création d'un emploi fictif de 1993 à 1995
au sein de la société Agos, filiale de l'AFRP.....
PAS DU TOUT ! L'affaire Agos est bien plus scabreuse que ça, tu oublies
ah philippe, ces masses de doc, inimitable.

alors fini le veritable nom?

--
UBU
Tout le rêve de la démocratie est d'élever le prolétaire au
niveau de bêtise du bourgeois. Le rêve est en partie accompli.
Flaubert, en 1867
Sylvain Le Franc
2005-01-11 23:43:48 UTC
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Post by ®®®©©©
Post by Sylvain Le Franc
Post by Big Nose's Kates
Vous avez des exemples ??
AFFAIRE AGOS - Mars 2002.
L'affaire Agos porte sur la création d'un emploi fictif de 1993 à 1995
au sein de la société Agos, filiale de l'AFRP.....
PAS DU TOUT ! L'affaire Agos est bien plus scabreuse que ça, tu oublies
La société Agos, filiale de l'AFRP (association des foyers de la région
parisienne), était dirigée par Yves Laisné, un ancien cadre du FN.
toujours les bonnes vieilles méthodes des socialocommunistes.

Yves LAISNE ancien cadre du FN de 1970 à 1977.

les faits pour lesquels il a été condamné sont liés à l'affaire agos et
s'étalent de 93 à 95. soit plus de 15 ans après.

8 mois à 1 an de prison avec surcis et 500 KF d'amende contre Jean
Christophe CAMBADELIS (n° 2 du PS) pour prestations fictives entre 1993 et
1995 au profit du directeur des foyers de l'AFRP.

vous ne reculez devant rien pour calomnier un parti.

et concernant les autres affaires ? rien à dire?

* Affaire Agos
* Affaire Airbus
* Affaire du Carrefour du développement
* Affaire de la CDDE
* Affaire du Crédit Lyonnais
* Affaire du Cref
* Affaire Destrade
* Affaire Dominique Erulin
* Affaire Doucé
* Affaire EDF
* Affaire Elf Aquitaine
* Affaire Falcone (volet fiscal)
* Affaire Gifco
* Affaire du financement de Globe
* Affaire des Irlandais de Vincennes
* Affaire Joséphine
* Affaire Lagerfeld
* Affaire Luchaire
* Affaire des Marchés truqués des lycées d'Île de France
* Affaire de la MGP
* Affaire de la MNEF
* Affaire des comptes de l'OM
* Affaire OM / VA
* Affaire Péchiney
* Affaire du Phocéa
* Affaire du Rainbow Warrior
* Affaire du Sang contaminé
* Affaire Testut
* Affaire Urba
* Affaire Vibrachoc

(...)
--
«Les socialistes croient à deux choses qui sont absolument contradictoires :
la liberté et l'organisation».
Elie Halévy.
®®®©©©
2005-01-12 08:20:44 UTC
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Post by Sylvain Le Franc
Post by ®®®©©©
La société Agos, filiale de l'AFRP (association des foyers de la
région parisienne), était dirigée par Yves Laisné, un ancien cadre du
FN.
toujours les bonnes vieilles méthodes des socialocommunistes.
Tes bonniments n'y peuvent rien, l'affaire Agos ce n'est pas celle d'un
emploi jugé fictif mais bien celle d'une faillite frauduleuse et de
détournements organisés par Laisné et Daudé, tous deux liés au FN.

"Rappelons qu'Yves Laisné était le président d'une association, l'AFRP
(association des foyers de la région parisienne), qui gérait plus d'une
trentaine de foyers dans la région parisienne et était en conflit depuis
plusieurs annés avec les résidents. Ceux-ci, réunis en association,
avaient engagé plusieurs actions civiles et pénales contre l'AFRP et son
dirigeant, l'AFRP ayant finalement déposé son bilan et ayant été
liquidée.

Une action intentée contre Yves Laisné et l'AFRP sur la base de
l'article 225-14 du nouveau code pénal qui réprime les conditions
d'hébergement contraires à la dignité humaine a été rejetée par la Cour
d'appel de Paris le 19 janvier 1998 (voir Bilan 98).

Mais le parquet de Paris avait de son côté engagé une action pénale
contre Yves Laisné pour abus de biens sociaux et abus de confiance, en
raison de malversations commises au préjudice de l'AFRP."

http://www.gisti.org/doc/bilans/1998/3-4.html#Laisne
http://www.gisti.org/doc/bilans/1999/3-4-2.html

Yves Laisné, qui fut un moment membre du Front national, a été condamné
à 15 mois de prison avec sursis et 500.000 francs d'amende pour des
malversations financières dans les foyers.

Denis Daude

Beau-fils de Pierre Faillant de Villemarest et petit-neveu du Docteur
Martin, membre historique de la Cagoule. Denis Daude s'est spécialisé,
dans les années quatre-vingt, dans la formation des élus frontistes au
travers de l'association Clergerie. Dans la même période, il s'est
intéressé au logement social. D'abord à travers l'Association pour le
logement des mères en détresse (ALMD), puis au sein de l'Association des
foyers de la région parisienne (AFPR), où il participa activement aux
montages très contestés de son ami Yves Laisné, ancien membre du Comité
central du FN (cf. Le FN et l'argent de l'establishment par Blandine
Hennion, La Découverte, 1993). Depuis, Yves Lainé a été mis en examen
pour avoir versé un salaire fictif à Jean-Christophe Cambadélis
(fondateur du Manifeste contre le FN et n° 2 du Parti socialiste)).
Denis Daude milite aujourd'hui au Grece d'Alain de Benoist. Conseiller
municipal de Vernouillet (Eure-et-Loire) et conseiller régional du
Centre.
En 1998, il fut pressenti pour succéder à Bernard Courcelle à la tête du
DPS si celui-ci avait abandonné ses fonctions lors de l'affaire
tchétchène.

xxxx
2005-01-11 16:41:28 UTC
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Post by guy veys
je ne suis pas dedroite ni facho je m'interroge sur les droits reels
des
Post by xxxx
Post by guy veys
gens sans histoires qui se conforment à leurs devoirs ?
Devant cette impunité, ils ont envie d'en faire autant puisque l'on voit
des
Post by xxxx
escrocs détourner des sommes folles et être condamnées à une amende
ridicule.
Vous avez des exemples ??
AFFAIRE AGOS - Mars 2002.
L'affaire Agos porte sur la création d'un emploi fictif de 1993 à 1995 au
sein
de la société Agos, filiale de l'AFRP, au profit de Cambadélis et ce pour un
montant de 450 000 francs. Poursuivi pour "recel d'abus de biens sociaux ",
ce
dernier a été condamné à 8 mois de prison de sursis et 500 000 francs
d'amende.
Il serait intéressant de faire une telle liste la plus complète possible
pour dénoncer la malhonnêteté de notre élite et de l'éditer.
Sylvain Le Franc
2005-01-11 23:40:58 UTC
Permalink
xxxx wrote:

(...)
Post by xxxx
Post by Sylvain Le Franc
AFFAIRE AGOS - Mars 2002.
L'affaire Agos porte sur la création d'un emploi fictif de 1993 à 1995 au
sein
de la société Agos, filiale de l'AFRP, au profit de Cambadélis et ce pour un
montant de 450 000 francs. Poursuivi pour "recel d'abus de biens sociaux ",
ce
dernier a été condamné à 8 mois de prison de sursis et 500 000 francs
d'amende.
Il serait intéressant de faire une telle liste la plus complète possible
pour dénoncer la malhonnêteté de notre élite et de l'éditer.
y a plus qu'à ;o)
--
«Les socialistes croient à deux choses qui sont absolument contradictoires :
la liberté et l'organisation».
Elie Halévy.
menfin
2005-01-10 16:36:30 UTC
Permalink
mais vous ètes en france ! vous méritez votre pays
Post by guy veys
voiture brulées, affaires non élucidées etc.
c'est la justice qui ne permet pas a la police d'etre efficace
trop de lois tuent la loi les avocats et les juges le savent bien.
autre chose quand une affaire est résolue et un voyou condamné
c'est la vengeance qui se met en route et la plupart du temps c'est la
victime qui est obligée de fuir.
je ne suis pas dedroite ni facho je m'interroge sur les droits reels des
gens sans histoires qui se conforment à leurs devoirs ?
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