Discussion:
Bernard-Henri Lévy : de Kant aux surgelés Picard
(trop ancien pour répondre)
quintal
2008-11-16 12:50:00 UTC
Permalink
puisque BHL vient de sortir un bouquin où il se plaint comme une chiasse
d'être maltraité, voici en contrepoint un rappel de 2006

fr.rec.arts.litterature, fr.soc.politique,fr.sci.philo

http://oumma.com/Bernard-Henri-Levy-de-Kant-aux

Bernard-Henri Lévy : de Kant aux surgelés Picard

jeudi 9 mars 2006

Au rayon des livres ostracisés par des médias devenus des succursales de
trusts industriels, l?ouvrage « Une imposture française », de Nicolas
Beau (journaliste au Canard Enchaîné) et Olivier Toscer (du Nouvel
Observateur) paru récemment aux éditions Les Arènes, sera disposé en
tête de gondole. Dans ce pays où une caste de journalistes psalmodie en
boucle la ritournelle de la liberté d?expression, le fait même de
dévoiler quelques vérités ornées de savoureuses vilénies sur
l?écrivassier Bernard-Henri Lévy, suffit à vous rendre aussi
infréquentable qu?un poulet atteint du virus H5N1, auprès de ces
courtisans de basse-cour médiatique. Ne touchez surtout pas aux idoles,
la malédiction médiatique s?abattra sur vous : « Ses innombrables
relations dans le monde des affaires ont fait de lui un intouchable.
Plus grave l?écrivain est devenu l?arbitre des élégances de la presse et
des médias en France, distribuant les bons points et écartant les mal-
pensants. Face à lui, des patrons de rédaction parfois complaisants ou
simplement conformistes acceptent ses diktats ».

Les médias ont donc leur sanctuaire avec leurs idoles, érigées sur les
cimes de leur temple par la pratique du renvoi d?ascenseur, dont BHL
maîtrise tous les rouages techniques. Ses adulateurs se sont adjugés un
monopole sur ces émissions mêlant people et « littérature », qui
accueillent notamment des incultes du showbiz qui n?ont rien à dire, si
ce n?est de communiquer à des téléspectateurs dénués de sens critique,
le titre et le prix de leur livre écrit par d?autres.

Objet d?une vénération vénale par ces flagorneurs journalistiques, la
statuette BHL sait combien cette fidélité mercantile que lui vouent ces
plumitifs d?holding industriels est le meilleur gage de son
invulnérabilité. « Il suffit de trouver dans chaque rédaction des
affidés qui lui doivent tous quelque chose (complément de salaire,
position sociale, honneur quelconque)... et de les activer au gré de ses
besoins promotionnels. Du clientélisme classique appliqué à la gent
intellectuelle. »

Entre deux grattements du torse, l?homme à la chemise débraillée qui
entonne son homélie moralisatrice aux quatre coins du monde refuse la
contradiction, et se révèle un maître-censeur : « Bernard-Henri Lévy
contrôle tout ce qui s?écrit sur lui ou sur ses proches (...) La censure
béachélienne dans la presse française ne passe pas toujours par les
liens d?argent. Dans les médias, Bernard- Henri Lévy passe- à tort ou à
raison- pour une vache sacrée que peu de patrons de rédaction, de gauche
comme de droite , osent défier. »

Depuis des palaces parisiens, le magnat de la philosophie somme avec une
solennité condescendante les musulmans à accepter le droit à la critique
de leur religion, mais ne tolère aucune observation sur sa personne
qu?il a littéralement sacralisée au point d?exiger le licenciement d?une
journaliste du magazine Elle qui a osé égratigner l?icône. Devant les
pratiques staliniennes de notre penseur hexagonal, le plus hirsute et le
plus rustre des talibans fait figure de référence démocratique. Il est
plus périlleux en France de caricaturer BHL que le prophète Mohammed. :
« Le jour même de la publication, le responsable des pages livre du
magazine féminin entre dans le bureau de Serge Raffy, alors directeur de
la rédaction de l?hebdomadaire. Il est embêté : « On me demande de virer
Céline »

La saga du muscadin de la philosophie quelque peu défraîchi peut se
poursuivre. Elle est libellée à grands coups de critiques obséquieuses
commandées en colissimo avant chaque parution de ses opuscules, où il
badigeonne laborieusement sa pensée fluette, vendue comme un sommet de
la réflexion grâce au miracle du marketing littéraire. Parmi les
nombreuses révélations du livre de Nicolas Beau et Olivier Toscer, on
apprend que BHL détient une partie du capital des surgelés Picard.
L?implication de BHL dans la congélation peut surprendre, mais elle
n?est en rien antinomique avec sa démarche philosophique. On peut même y
déceler un point commun. Peut-être est-ce au sein du groupe Picard que
réside le secret de sa réflexion chétive. S?inspirant des recettes de
l?industrie agro-alimentaire, la philosophie de BHL particulièrement
allégée en concept est sans doute calquée sur le mode de production des
surgelés Picard allégés en calories.

Mais l?écrivain-affairiste qui a contribué à la désertification
conceptuelle de la philosophie, a entrepris auparavant la déforestation
du Bénin selon le témoignage du chroniqueur Guy Carlier rapporté par les
auteurs. Ce dernier « a été plusieurs années durant un collaborateur
très proche d?André, le père de Bernard-Henri Lévy. Il exerçait alors la
profession de directeur financier de la BECOB, la société de la famille
Lévy spécialisée dans le commerce de bois. »

Selon Nicolas Beau et Olivier Toscer, Bernard-Henri Lévy est très
impliqué dans la Becob depuis le début des années 1980. Il s?occupe
d?abord de communication interne, puis siège très officiellement comme
vice-président du conseil de surveillance quelques années plus tard. Guy
Carlier souligne à ce sujet : « A ceux qui pourraient penser que nous
vivons une époque étrange, ou un philosophe procède à l?oraison d?un
marchand d?armes, je répondrai que Bernard- Henri Lévy n?est pas un
philosophe. C?est également un mondain, un pilleur de forêt africaine,
un opportuniste... ».

Quant aux conditions de travail des employés gabonais de la BECOB, une
ONG britannique, le Comité Inter-Association Jeunesse et Environnement
(CIAJE) a établi un rapport accablant pour notre amateur de surgelés :
« Les travailleurs (...) se contentent des ruisseaux et rivières pour
s?alimenter en eau ( ...) Ces travailleurs sont exposées aux maladies
car cette eau est polluée par des poussières d?une autre substance (...)
Les travailleurs sont logés dans des niches mal aérées (...) Les
travailleurs étant considérés comme des semi-esclaves, rien n?a été
organisé dans le sens de leur épanouissement (...) »

Le boursicoteur est-il un philosophe du néant ? Voilà une question
métaphysique qui mettrait en panique tout candidat à l?épreuve de
philosophie du BAC, mais à laquelle Bernard-Henri Lévy peut répondre en
barbouillant une dissertation en un temps record, avec en guise de
conclusion des conseils en placement sur le marché monétaire destinés au
correcteur. Ce philosophe-actionnaire est en effet un squale de la
finance, réécrivant à sa manière une nouvelle version du Capital de Karl
Marx. Notre vendeur de surgelés amoureux des arts, des chiffres et
lettres est un redoutable boursicoteur qui ne semble pas soumis aux
aléas de la spéculation financière.

Un chapitre du livre relate cet épisode au cours duquel l?écrivaillon du
CAC 40 perd plus de 2 millions d?euros après voir confié cette somme à
la société Etna Finance : « Dans la débâcle, Bernard-Henri Lévy perd
plus de 2 millions d?euros ; Il est fou furieux : Derrière sa façade
d?intello, explique Parent, le patron d?Etna Finance, c?est un allumé de
l?argent, totalement obsédé par cela. » Quand les pertes commencent à
s?accumuler, toujours selon le patron d?Etna Fiance, le boursicoteur
affolé appelle « dix à quinze fois par jour, et de partout. Il passe des
coups de fils d?Afghanistan ou de Marrakech, argumentant marchés à terme
avec une aisance déconcertante ».

Et lorsque le golden boy BHL dilapide ses petites économies, il exige
aussitôt d?être remboursé en recourant à son arme favorite : la menace
au licenciement. Claire Arfi gestionnaire de ses fonds témoigne : « Je
gérais le compte Finaquatre de M. Bernard- Henri Lévy et j?avais pris
des positions sur le marché obligataire américain dont les cours ont
chuté brutalement » dira-elle au juge. Mais devant les menaces verbales
de Bernard-Henri Lévy de me faire perdre mon emploi et malgré l?avis
contraire de mon patron, j?ai préféré le rembourser. »

« Une imposture française » déboutonne un peu plus la chemisette blanche
de BHL achetée à 350 euros l?unité. Un costume de scène indispensable à
l?entretien de sa légende de bohème emphatique. Mais tout en
déboutonnant sa tenue mystificatrice, la succulente estocade de Nicolas
Beau et Olivier Toscer le rhabille chaudement pour plusieurs hivers, ce
qui est particulièrement utile quand on navigue comme BHL dans le
secteur de la congélation.
--
blog:
http://quintaldo.wordpress.com/
files site:
http://www.divshare.com/download/5059726-d25
quintal
2008-11-16 13:10:39 UTC
Permalink
Post by quintal
puisque BHL vient de sortir un bouquin où il se plaint comme une chiasse
d'être maltraité,
ce pauvre garçon se prend pour un grand écrivain maudit, il faut le voir
pour le croire:

partie 1
http://snipurl.com/5magh [www_dailymotion_com]
http://www.dailymotion.com/video/x79s2r_bhl-vs-zemmour-naulleau-1of2-
itv-ru_news

partie 2
http://snipurl.com/5maju [www_dailymotion_com]
http://www.dailymotion.com/video/x79s8l_bhl-vs-zemmour-naulleau-2of2-
itv-ru_news
Post by quintal
voici en contrepoint un rappel de 2006
fr.rec.arts.litterature, fr.soc.politique,fr.sci.philo
http://oumma.com/Bernard-Henri-Levy-de-Kant-aux
Bernard-Henri Lévy : de Kant aux surgelés Picard
jeudi 9 mars 2006
Au rayon des livres ostracisés par des médias devenus des succursales de
trusts industriels, l?ouvrage « Une imposture française », de Nicolas
Beau (journaliste au Canard Enchaîné) et Olivier Toscer (du Nouvel
Observateur) paru récemment aux éditions Les Arènes, sera disposé en
tête de gondole. Dans ce pays où une caste de journalistes psalmodie en
boucle la ritournelle de la liberté d?expression, le fait même de
dévoiler quelques vérités ornées de savoureuses vilénies sur
l?écrivassier Bernard-Henri Lévy, suffit à vous rendre aussi
infréquentable qu?un poulet atteint du virus H5N1, auprès de ces
courtisans de basse-cour médiatique. Ne touchez surtout pas aux idoles,
la malédiction médiatique s?abattra sur vous : « Ses innombrables
relations dans le monde des affaires ont fait de lui un intouchable.
Plus grave l?écrivain est devenu l?arbitre des élégances de la presse et
des médias en France, distribuant les bons points et écartant les mal-
pensants. Face à lui, des patrons de rédaction parfois complaisants ou
simplement conformistes acceptent ses diktats ».
Les médias ont donc leur sanctuaire avec leurs idoles, érigées sur les
cimes de leur temple par la pratique du renvoi d?ascenseur, dont BHL
maîtrise tous les rouages techniques. Ses adulateurs se sont adjugés un
monopole sur ces émissions mêlant people et « littérature », qui
accueillent notamment des incultes du showbiz qui n?ont rien à dire, si
ce n?est de communiquer à des téléspectateurs dénués de sens critique,
le titre et le prix de leur livre écrit par d?autres.
Objet d?une vénération vénale par ces flagorneurs journalistiques, la
statuette BHL sait combien cette fidélité mercantile que lui vouent ces
plumitifs d?holding industriels est le meilleur gage de son
invulnérabilité. « Il suffit de trouver dans chaque rédaction des
affidés qui lui doivent tous quelque chose (complément de salaire,
position sociale, honneur quelconque)... et de les activer au gré de ses
besoins promotionnels. Du clientélisme classique appliqué à la gent
intellectuelle. »
Entre deux grattements du torse, l?homme à la chemise débraillée qui
entonne son homélie moralisatrice aux quatre coins du monde refuse la
contradiction, et se révèle un maître-censeur : « Bernard-Henri Lévy
contrôle tout ce qui s?écrit sur lui ou sur ses proches (...) La censure
béachélienne dans la presse française ne passe pas toujours par les
liens d?argent. Dans les médias, Bernard- Henri Lévy passe- à tort ou à
raison- pour une vache sacrée que peu de patrons de rédaction, de gauche
comme de droite , osent défier. »
Depuis des palaces parisiens, le magnat de la philosophie somme avec une
solennité condescendante les musulmans à accepter le droit à la critique
de leur religion, mais ne tolère aucune observation sur sa personne
qu?il a littéralement sacralisée au point d?exiger le licenciement d?une
journaliste du magazine Elle qui a osé égratigner l?icône. Devant les
pratiques staliniennes de notre penseur hexagonal, le plus hirsute et le
plus rustre des talibans fait figure de référence démocratique. Il est
« Le jour même de la publication, le responsable des pages livre du
magazine féminin entre dans le bureau de Serge Raffy, alors directeur de
la rédaction de l?hebdomadaire. Il est embêté : « On me demande de virer
Céline »
La saga du muscadin de la philosophie quelque peu défraîchi peut se
poursuivre. Elle est libellée à grands coups de critiques obséquieuses
commandées en colissimo avant chaque parution de ses opuscules, où il
badigeonne laborieusement sa pensée fluette, vendue comme un sommet de
la réflexion grâce au miracle du marketing littéraire. Parmi les
nombreuses révélations du livre de Nicolas Beau et Olivier Toscer, on
apprend que BHL détient une partie du capital des surgelés Picard.
L?implication de BHL dans la congélation peut surprendre, mais elle
n?est en rien antinomique avec sa démarche philosophique. On peut même y
déceler un point commun. Peut-être est-ce au sein du groupe Picard que
réside le secret de sa réflexion chétive. S?inspirant des recettes de
l?industrie agro-alimentaire, la philosophie de BHL particulièrement
allégée en concept est sans doute calquée sur le mode de production des
surgelés Picard allégés en calories.
Mais l?écrivain-affairiste qui a contribué à la désertification
conceptuelle de la philosophie, a entrepris auparavant la déforestation
du Bénin selon le témoignage du chroniqueur Guy Carlier rapporté par les
auteurs. Ce dernier « a été plusieurs années durant un collaborateur
très proche d?André, le père de Bernard-Henri Lévy. Il exerçait alors la
profession de directeur financier de la BECOB, la société de la famille
Lévy spécialisée dans le commerce de bois. »
Selon Nicolas Beau et Olivier Toscer, Bernard-Henri Lévy est très
impliqué dans la Becob depuis le début des années 1980. Il s?occupe
d?abord de communication interne, puis siège très officiellement comme
vice-président du conseil de surveillance quelques années plus tard. Guy
Carlier souligne à ce sujet : « A ceux qui pourraient penser que nous
vivons une époque étrange, ou un philosophe procède à l?oraison d?un
marchand d?armes, je répondrai que Bernard- Henri Lévy n?est pas un
philosophe. C?est également un mondain, un pilleur de forêt africaine,
un opportuniste... ».
Quant aux conditions de travail des employés gabonais de la BECOB, une
ONG britannique, le Comité Inter-Association Jeunesse et Environnement
« Les travailleurs (...) se contentent des ruisseaux et rivières pour
s?alimenter en eau ( ...) Ces travailleurs sont exposées aux maladies
car cette eau est polluée par des poussières d?une autre substance (...)
Les travailleurs sont logés dans des niches mal aérées (...) Les
travailleurs étant considérés comme des semi-esclaves, rien n?a été
organisé dans le sens de leur épanouissement (...) »
Le boursicoteur est-il un philosophe du néant ? Voilà une question
métaphysique qui mettrait en panique tout candidat à l?épreuve de
philosophie du BAC, mais à laquelle Bernard-Henri Lévy peut répondre en
barbouillant une dissertation en un temps record, avec en guise de
conclusion des conseils en placement sur le marché monétaire destinés au
correcteur. Ce philosophe-actionnaire est en effet un squale de la
finance, réécrivant à sa manière une nouvelle version du Capital de Karl
Marx. Notre vendeur de surgelés amoureux des arts, des chiffres et
lettres est un redoutable boursicoteur qui ne semble pas soumis aux
aléas de la spéculation financière.
Un chapitre du livre relate cet épisode au cours duquel l?écrivaillon du
CAC 40 perd plus de 2 millions d?euros après voir confié cette somme à
la société Etna Finance : « Dans la débâcle, Bernard-Henri Lévy perd
plus de 2 millions d?euros ; Il est fou furieux : Derrière sa façade
d?intello, explique Parent, le patron d?Etna Finance, c?est un allumé de
l?argent, totalement obsédé par cela. » Quand les pertes commencent à
s?accumuler, toujours selon le patron d?Etna Fiance, le boursicoteur
affolé appelle « dix à quinze fois par jour, et de partout. Il passe des
coups de fils d?Afghanistan ou de Marrakech, argumentant marchés à terme
avec une aisance déconcertante ».
Et lorsque le golden boy BHL dilapide ses petites économies, il exige
aussitôt d?être remboursé en recourant à son arme favorite : la menace
au licenciement. Claire Arfi gestionnaire de ses fonds témoigne : « Je
gérais le compte Finaquatre de M. Bernard- Henri Lévy et j?avais pris
des positions sur le marché obligataire américain dont les cours ont
chuté brutalement » dira-elle au juge. Mais devant les menaces verbales
de Bernard-Henri Lévy de me faire perdre mon emploi et malgré l?avis
contraire de mon patron, j?ai préféré le rembourser. »
« Une imposture française » déboutonne un peu plus la chemisette blanche
de BHL achetée à 350 euros l?unité. Un costume de scène indispensable à
l?entretien de sa légende de bohème emphatique. Mais tout en
déboutonnant sa tenue mystificatrice, la succulente estocade de Nicolas
Beau et Olivier Toscer le rhabille chaudement pour plusieurs hivers, ce
qui est particulièrement utile quand on navigue comme BHL dans le
secteur de la congélation.
--
blog:
http://quintaldo.wordpress.com/
files site:
http://www.divshare.com/download/5059726-d25
jmB
2008-11-16 15:44:42 UTC
Permalink
Post by quintal
ce pauvre garçon se prend pour un grand écrivain
BHL est est un écrit vain
Makhno
2008-11-16 18:19:57 UTC
Permalink
quintal a écrit :> ce pauvre garçon se prend pour un grand écrivain
 BHL est est un écrit vain
Le pire , c'est que les "Quintal" sont la preuve vivante qu'il y a
pire que "BHL" c'est dire où nous mène le système marchand qui les
produit en série !
quintal
2008-11-17 01:06:16 UTC
Permalink
In article <504fd18e-2ef2-4fcb-a27c-
***@k1g2000prb.googlegroups.com>, ***@wanadoo.fr
says...
Post by Makhno
quintal a écrit :> ce pauvre garçon se prend pour un grand écrivain
 BHL est est un écrit vain
Le pire , c'est que les "Quintal" sont la preuve vivante qu'il y a
pire que "BHL" c'est dire où nous mène le système marchand qui les
produit en série !
désolé eunuque, je ne suis pas un produit moi (à la différence de
béachel), je n'a rien à vendre.
--
blog:
http://quintaldo.wordpress.com/
files site:
http://www.divshare.com/download/5059726-d25
Ahmed Ouahi, Architect
2008-11-16 17:01:52 UTC
Permalink
Essentiellement, d'une manière ou d'une autre, et de manière certaine ce
n'est que la société qui est le primordial aussi bien, que le crucial
fabricant de l'individu, en tant qu'être quelque soit-il, d'où ce qui en
résulte de sa façon de la voir cette société, et dont autrui se revoit sans
pour autant réfléchir au fait, qu'il aurait fallu en faire pareil, mais ce
n'est que le pouvoir d'oser qui avait manqué à une éventuelle démarche...

Effectivement, ce qui ne fasse que se tourner voire se retourner, selon un
effet de miroir, que personne ne puisse contrôler étant le vagabondage de
l'esprit se refletant partout sans pour autant qu'on puisse le saisir...

Éventuellement, étant qu'il s'était approprié de ce qu'on puisse distinguer,
voire déterminer en tant que pensée, qui puisse en être dans des proportions
inconsidérables aussi bien qu'insaisissables, d'où le fait, de les tracer,
voire les figer dans un espace déterminé porte un nom universel, qui n'est
autre, que l'écriture...

En effet, qui ne fasse à son tour que produire l'écrivain, qui circule à son
tour dans une certaine proportion qui ne fasse que s'élargir en fonction de
l'espace temps...

D'autant mieux, quoique sa base en puisse rester figée sur une page, cette
pensée ne fasse que vagabonder plus loin, et plus haut à l'aide de certains
volatiles qui se nomment des mots, pour en faire encore d'avantage de mots,
dont l'écrivain ne fasse qu'en capturer certains de ces volatiles pour les
emprisonner sur une page...

Néanmoins, que sur quoi ces volatiles n'en laissent que leur image, étant
que ces volatiles ne sont que des nomades en nombre s'envolant partout
quelque soit l'espace temps, surquoi, ne fasse-t-ils que s'envoler ces
volatiles grâce à ce moyen de locomotion qui n'est que cette pensée...

En effet, qui ne fasse de temps à autre qu'en capturer certains de ces
volatiles parfois infiniment mais jamais assez quelque soit x, dans
certaines mesures dont leur dimensions puisse en rester indéterminée étant
cette pensée puisse-t-elle rester assujetti à leur envol ver l'infini...

Éventuellement, d'où en capturer certains de ces volatiles n'est jamais
évident, quoique c'en est une merveille, qui énergise l'univers ce qui fasse
l'être se dédoubler voire se doubler et en multitude et à volonté, et c'est
ce que qui fait l'extrême beauté de l'univers et son prolongement, voire sa
progression perpétuelle...
--
Ahmed Ouahi, Architect
Bonjour!
Post by quintal
puisque BHL vient de sortir un bouquin où il se plaint comme une chiasse
d'être maltraité,
ce pauvre garçon se prend pour un grand écrivain maudit, il faut le voir
pour le croire:

partie 1
http://snipurl.com/5magh [www_dailymotion_com]
http://www.dailymotion.com/video/x79s2r_bhl-vs-zemmour-naulleau-1of2-
itv-ru_news

partie 2
http://snipurl.com/5maju [www_dailymotion_com]
http://www.dailymotion.com/video/x79s8l_bhl-vs-zemmour-naulleau-2of2-
itv-ru_news
Post by quintal
voici en contrepoint un rappel de 2006
fr.rec.arts.litterature, fr.soc.politique,fr.sci.philo
http://oumma.com/Bernard-Henri-Levy-de-Kant-aux
Bernard-Henri Lévy : de Kant aux surgelés Picard
jeudi 9 mars 2006
Au rayon des livres ostracisés par des médias devenus des succursales de
trusts industriels, l?ouvrage « Une imposture française », de Nicolas
Beau (journaliste au Canard Enchaîné) et Olivier Toscer (du Nouvel
Observateur) paru récemment aux éditions Les Arènes, sera disposé en
tête de gondole. Dans ce pays où une caste de journalistes psalmodie en
boucle la ritournelle de la liberté d?expression, le fait même de
dévoiler quelques vérités ornées de savoureuses vilénies sur
l?écrivassier Bernard-Henri Lévy, suffit à vous rendre aussi
infréquentable qu?un poulet atteint du virus H5N1, auprès de ces
courtisans de basse-cour médiatique. Ne touchez surtout pas aux idoles,
la malédiction médiatique s?abattra sur vous : « Ses innombrables
relations dans le monde des affaires ont fait de lui un intouchable.
Plus grave l?écrivain est devenu l?arbitre des élégances de la presse et
des médias en France, distribuant les bons points et écartant les mal-
pensants. Face à lui, des patrons de rédaction parfois complaisants ou
simplement conformistes acceptent ses diktats ».
Les médias ont donc leur sanctuaire avec leurs idoles, érigées sur les
cimes de leur temple par la pratique du renvoi d?ascenseur, dont BHL
maîtrise tous les rouages techniques. Ses adulateurs se sont adjugés un
monopole sur ces émissions mêlant people et « littérature », qui
accueillent notamment des incultes du showbiz qui n?ont rien à dire, si
ce n?est de communiquer à des téléspectateurs dénués de sens critique,
le titre et le prix de leur livre écrit par d?autres.
Objet d?une vénération vénale par ces flagorneurs journalistiques, la
statuette BHL sait combien cette fidélité mercantile que lui vouent ces
plumitifs d?holding industriels est le meilleur gage de son
invulnérabilité. « Il suffit de trouver dans chaque rédaction des
affidés qui lui doivent tous quelque chose (complément de salaire,
position sociale, honneur quelconque)... et de les activer au gré de ses
besoins promotionnels. Du clientélisme classique appliqué à la gent
intellectuelle. »
Entre deux grattements du torse, l?homme à la chemise débraillée qui
entonne son homélie moralisatrice aux quatre coins du monde refuse la
contradiction, et se révèle un maître-censeur : « Bernard-Henri Lévy
contrôle tout ce qui s?écrit sur lui ou sur ses proches (...) La censure
béachélienne dans la presse française ne passe pas toujours par les
liens d?argent. Dans les médias, Bernard- Henri Lévy passe- à tort ou à
raison- pour une vache sacrée que peu de patrons de rédaction, de gauche
comme de droite , osent défier. »
Depuis des palaces parisiens, le magnat de la philosophie somme avec une
solennité condescendante les musulmans à accepter le droit à la critique
de leur religion, mais ne tolère aucune observation sur sa personne
qu?il a littéralement sacralisée au point d?exiger le licenciement d?une
journaliste du magazine Elle qui a osé égratigner l?icône. Devant les
pratiques staliniennes de notre penseur hexagonal, le plus hirsute et le
plus rustre des talibans fait figure de référence démocratique. Il est
« Le jour même de la publication, le responsable des pages livre du
magazine féminin entre dans le bureau de Serge Raffy, alors directeur de
la rédaction de l?hebdomadaire. Il est embêté : « On me demande de virer
Céline »
La saga du muscadin de la philosophie quelque peu défraîchi peut se
poursuivre. Elle est libellée à grands coups de critiques obséquieuses
commandées en colissimo avant chaque parution de ses opuscules, où il
badigeonne laborieusement sa pensée fluette, vendue comme un sommet de
la réflexion grâce au miracle du marketing littéraire. Parmi les
nombreuses révélations du livre de Nicolas Beau et Olivier Toscer, on
apprend que BHL détient une partie du capital des surgelés Picard.
L?implication de BHL dans la congélation peut surprendre, mais elle
n?est en rien antinomique avec sa démarche philosophique. On peut même y
déceler un point commun. Peut-être est-ce au sein du groupe Picard que
réside le secret de sa réflexion chétive. S?inspirant des recettes de
l?industrie agro-alimentaire, la philosophie de BHL particulièrement
allégée en concept est sans doute calquée sur le mode de production des
surgelés Picard allégés en calories.
Mais l?écrivain-affairiste qui a contribué à la désertification
conceptuelle de la philosophie, a entrepris auparavant la déforestation
du Bénin selon le témoignage du chroniqueur Guy Carlier rapporté par les
auteurs. Ce dernier « a été plusieurs années durant un collaborateur
très proche d?André, le père de Bernard-Henri Lévy. Il exerçait alors la
profession de directeur financier de la BECOB, la société de la famille
Lévy spécialisée dans le commerce de bois. »
Selon Nicolas Beau et Olivier Toscer, Bernard-Henri Lévy est très
impliqué dans la Becob depuis le début des années 1980. Il s?occupe
d?abord de communication interne, puis siège très officiellement comme
vice-président du conseil de surveillance quelques années plus tard. Guy
Carlier souligne à ce sujet : « A ceux qui pourraient penser que nous
vivons une époque étrange, ou un philosophe procède à l?oraison d?un
marchand d?armes, je répondrai que Bernard- Henri Lévy n?est pas un
philosophe. C?est également un mondain, un pilleur de forêt africaine,
un opportuniste... ».
Quant aux conditions de travail des employés gabonais de la BECOB, une
ONG britannique, le Comité Inter-Association Jeunesse et Environnement
« Les travailleurs (...) se contentent des ruisseaux et rivières pour
s?alimenter en eau ( ...) Ces travailleurs sont exposées aux maladies
car cette eau est polluée par des poussières d?une autre substance (...)
Les travailleurs sont logés dans des niches mal aérées (...) Les
travailleurs étant considérés comme des semi-esclaves, rien n?a été
organisé dans le sens de leur épanouissement (...) »
Le boursicoteur est-il un philosophe du néant ? Voilà une question
métaphysique qui mettrait en panique tout candidat à l?épreuve de
philosophie du BAC, mais à laquelle Bernard-Henri Lévy peut répondre en
barbouillant une dissertation en un temps record, avec en guise de
conclusion des conseils en placement sur le marché monétaire destinés au
correcteur. Ce philosophe-actionnaire est en effet un squale de la
finance, réécrivant à sa manière une nouvelle version du Capital de Karl
Marx. Notre vendeur de surgelés amoureux des arts, des chiffres et
lettres est un redoutable boursicoteur qui ne semble pas soumis aux
aléas de la spéculation financière.
Un chapitre du livre relate cet épisode au cours duquel l?écrivaillon du
CAC 40 perd plus de 2 millions d?euros après voir confié cette somme à
la société Etna Finance : « Dans la débâcle, Bernard-Henri Lévy perd
plus de 2 millions d?euros ; Il est fou furieux : Derrière sa façade
d?intello, explique Parent, le patron d?Etna Finance, c?est un allumé de
l?argent, totalement obsédé par cela. » Quand les pertes commencent à
s?accumuler, toujours selon le patron d?Etna Fiance, le boursicoteur
affolé appelle « dix à quinze fois par jour, et de partout. Il passe des
coups de fils d?Afghanistan ou de Marrakech, argumentant marchés à terme
avec une aisance déconcertante ».
Et lorsque le golden boy BHL dilapide ses petites économies, il exige
aussitôt d?être remboursé en recourant à son arme favorite : la menace
au licenciement. Claire Arfi gestionnaire de ses fonds témoigne : « Je
gérais le compte Finaquatre de M. Bernard- Henri Lévy et j?avais pris
des positions sur le marché obligataire américain dont les cours ont
chuté brutalement » dira-elle au juge. Mais devant les menaces verbales
de Bernard-Henri Lévy de me faire perdre mon emploi et malgré l?avis
contraire de mon patron, j?ai préféré le rembourser. »
« Une imposture française » déboutonne un peu plus la chemisette blanche
de BHL achetée à 350 euros l?unité. Un costume de scène indispensable à
l?entretien de sa légende de bohème emphatique. Mais tout en
déboutonnant sa tenue mystificatrice, la succulente estocade de Nicolas
Beau et Olivier Toscer le rhabille chaudement pour plusieurs hivers, ce
qui est particulièrement utile quand on navigue comme BHL dans le
secteur de la congélation.
--
blog:
http://quintaldo.wordpress.com/
files site:
http://www.divshare.com/download/5059726-d25
quintal
2008-11-17 01:08:57 UTC
Permalink
In article <gfpjls$icv$***@nyytiset.pp.htv.fi>, ***@welho.com
says...
Post by Ahmed Ouahi, Architect
Essentiellement, d'une manière ou d'une autre, et de manière certaine ce
n'est que la société qui est le primordial aussi bien, que le crucial
fabricant de l'individu, en tant qu'être quelque soit-il, d'où ce qui en
résulte de sa façon de la voir cette société, et dont autrui se revoit sans
pour autant réfléchir au fait, qu'il aurait fallu en faire pareil, mais ce
n'est que le pouvoir d'oser qui avait manqué à une éventuelle démarche...
Effectivement, ce qui ne fasse que se tourner voire se retourner, selon un
effet de miroir, que personne ne puisse contrôler étant le vagabondage de
l'esprit se refletant partout sans pour autant qu'on puisse le saisir...
Éventuellement, étant qu'il s'était approprié de ce qu'on puisse distinguer,
voire déterminer en tant que pensée, qui puisse en être dans des proportions
inconsidérables aussi bien qu'insaisissables, d'où le fait, de les tracer,
voire les figer dans un espace déterminé porte un nom universel, qui n'est
autre, que l'écriture...
En effet, qui ne fasse à son tour que produire l'écrivain, qui circule à son
tour dans une certaine proportion qui ne fasse que s'élargir en fonction de
l'espace temps...
D'autant mieux, quoique sa base en puisse rester figée sur une page, cette
pensée ne fasse que vagabonder plus loin, et plus haut à l'aide de certains
volatiles qui se nomment des mots, pour en faire encore d'avantage de mots,
dont l'écrivain ne fasse qu'en capturer certains de ces volatiles pour les
emprisonner sur une page...
Néanmoins, que sur quoi ces volatiles n'en laissent que leur image, étant
que ces volatiles ne sont que des nomades en nombre s'envolant partout
quelque soit l'espace temps, surquoi, ne fasse-t-ils que s'envoler ces
volatiles grâce à ce moyen de locomotion qui n'est que cette pensée...
En effet, qui ne fasse de temps à autre qu'en capturer certains de ces
volatiles parfois infiniment mais jamais assez quelque soit x, dans
certaines mesures dont leur dimensions puisse en rester indéterminée étant
cette pensée puisse-t-elle rester assujetti à leur envol ver l'infini...
Éventuellement, d'où en capturer certains de ces volatiles n'est jamais
évident, quoique c'en est une merveille, qui énergise l'univers ce qui fasse
l'être se dédoubler voire se doubler et en multitude et à volonté, et c'est
ce que qui fait l'extrême beauté de l'univers et son prolongement, voire sa
progression perpétuelle...
--
Ahmed Ouahi, Architect
Bonjour!
mdr on a un poète
Post by Ahmed Ouahi, Architect
Post by quintal
puisque BHL vient de sortir un bouquin où il se plaint comme une chiasse
d'être maltraité,
ce pauvre garçon se prend pour un grand écrivain maudit, il faut le voir
partie 1
http://snipurl.com/5magh [www_dailymotion_com]
http://www.dailymotion.com/video/x79s2r_bhl-vs-zemmour-naulleau-1of2-
itv-ru_news
partie 2
http://snipurl.com/5maju [www_dailymotion_com]
http://www.dailymotion.com/video/x79s8l_bhl-vs-zemmour-naulleau-2of2-
itv-ru_news
Post by quintal
voici en contrepoint un rappel de 2006
fr.rec.arts.litterature, fr.soc.politique,fr.sci.philo
http://oumma.com/Bernard-Henri-Levy-de-Kant-aux
Bernard-Henri Lévy : de Kant aux surgelés Picard
jeudi 9 mars 2006
Au rayon des livres ostracisés par des médias devenus des succursales de
trusts industriels, l?ouvrage « Une imposture française », de Nicolas
Beau (journaliste au Canard Enchaîné) et Olivier Toscer (du Nouvel
Observateur) paru récemment aux éditions Les Arènes, sera disposé en
tête de gondole. Dans ce pays où une caste de journalistes psalmodie en
boucle la ritournelle de la liberté d?expression, le fait même de
dévoiler quelques vérités ornées de savoureuses vilénies sur
l?écrivassier Bernard-Henri Lévy, suffit à vous rendre aussi
infréquentable qu?un poulet atteint du virus H5N1, auprès de ces
courtisans de basse-cour médiatique. Ne touchez surtout pas aux idoles,
la malédiction médiatique s?abattra sur vous : « Ses innombrables
relations dans le monde des affaires ont fait de lui un intouchable.
Plus grave l?écrivain est devenu l?arbitre des élégances de la presse et
des médias en France, distribuant les bons points et écartant les mal-
pensants. Face à lui, des patrons de rédaction parfois complaisants ou
simplement conformistes acceptent ses diktats ».
Les médias ont donc leur sanctuaire avec leurs idoles, érigées sur les
cimes de leur temple par la pratique du renvoi d?ascenseur, dont BHL
maîtrise tous les rouages techniques. Ses adulateurs se sont adjugés un
monopole sur ces émissions mêlant people et « littérature », qui
accueillent notamment des incultes du showbiz qui n?ont rien à dire, si
ce n?est de communiquer à des téléspectateurs dénués de sens critique,
le titre et le prix de leur livre écrit par d?autres.
Objet d?une vénération vénale par ces flagorneurs journalistiques, la
statuette BHL sait combien cette fidélité mercantile que lui vouent ces
plumitifs d?holding industriels est le meilleur gage de son
invulnérabilité. « Il suffit de trouver dans chaque rédaction des
affidés qui lui doivent tous quelque chose (complément de salaire,
position sociale, honneur quelconque)... et de les activer au gré de ses
besoins promotionnels. Du clientélisme classique appliqué à la gent
intellectuelle. »
Entre deux grattements du torse, l?homme à la chemise débraillée qui
entonne son homélie moralisatrice aux quatre coins du monde refuse la
contradiction, et se révèle un maître-censeur : « Bernard-Henri Lévy
contrôle tout ce qui s?écrit sur lui ou sur ses proches (...) La censure
béachélienne dans la presse française ne passe pas toujours par les
liens d?argent. Dans les médias, Bernard- Henri Lévy passe- à tort ou à
raison- pour une vache sacrée que peu de patrons de rédaction, de gauche
comme de droite , osent défier. »
Depuis des palaces parisiens, le magnat de la philosophie somme avec une
solennité condescendante les musulmans à accepter le droit à la critique
de leur religion, mais ne tolère aucune observation sur sa personne
qu?il a littéralement sacralisée au point d?exiger le licenciement d?une
journaliste du magazine Elle qui a osé égratigner l?icône. Devant les
pratiques staliniennes de notre penseur hexagonal, le plus hirsute et le
plus rustre des talibans fait figure de référence démocratique. Il est
« Le jour même de la publication, le responsable des pages livre du
magazine féminin entre dans le bureau de Serge Raffy, alors directeur de
la rédaction de l?hebdomadaire. Il est embêté : « On me demande de virer
Céline »
La saga du muscadin de la philosophie quelque peu défraîchi peut se
poursuivre. Elle est libellée à grands coups de critiques obséquieuses
commandées en colissimo avant chaque parution de ses opuscules, où il
badigeonne laborieusement sa pensée fluette, vendue comme un sommet de
la réflexion grâce au miracle du marketing littéraire. Parmi les
nombreuses révélations du livre de Nicolas Beau et Olivier Toscer, on
apprend que BHL détient une partie du capital des surgelés Picard.
L?implication de BHL dans la congélation peut surprendre, mais elle
n?est en rien antinomique avec sa démarche philosophique. On peut même y
déceler un point commun. Peut-être est-ce au sein du groupe Picard que
réside le secret de sa réflexion chétive. S?inspirant des recettes de
l?industrie agro-alimentaire, la philosophie de BHL particulièrement
allégée en concept est sans doute calquée sur le mode de production des
surgelés Picard allégés en calories.
Mais l?écrivain-affairiste qui a contribué à la désertification
conceptuelle de la philosophie, a entrepris auparavant la déforestation
du Bénin selon le témoignage du chroniqueur Guy Carlier rapporté par les
auteurs. Ce dernier « a été plusieurs années durant un collaborateur
très proche d?André, le père de Bernard-Henri Lévy. Il exerçait alors la
profession de directeur financier de la BECOB, la société de la famille
Lévy spécialisée dans le commerce de bois. »
Selon Nicolas Beau et Olivier Toscer, Bernard-Henri Lévy est très
impliqué dans la Becob depuis le début des années 1980. Il s?occupe
d?abord de communication interne, puis siège très officiellement comme
vice-président du conseil de surveillance quelques années plus tard. Guy
Carlier souligne à ce sujet : « A ceux qui pourraient penser que nous
vivons une époque étrange, ou un philosophe procède à l?oraison d?un
marchand d?armes, je répondrai que Bernard- Henri Lévy n?est pas un
philosophe. C?est également un mondain, un pilleur de forêt africaine,
un opportuniste... ».
Quant aux conditions de travail des employés gabonais de la BECOB, une
ONG britannique, le Comité Inter-Association Jeunesse et Environnement
« Les travailleurs (...) se contentent des ruisseaux et rivières pour
s?alimenter en eau ( ...) Ces travailleurs sont exposées aux maladies
car cette eau est polluée par des poussières d?une autre substance (...)
Les travailleurs sont logés dans des niches mal aérées (...) Les
travailleurs étant considérés comme des semi-esclaves, rien n?a été
organisé dans le sens de leur épanouissement (...) »
Le boursicoteur est-il un philosophe du néant ? Voilà une question
métaphysique qui mettrait en panique tout candidat à l?épreuve de
philosophie du BAC, mais à laquelle Bernard-Henri Lévy peut répondre en
barbouillant une dissertation en un temps record, avec en guise de
conclusion des conseils en placement sur le marché monétaire destinés au
correcteur. Ce philosophe-actionnaire est en effet un squale de la
finance, réécrivant à sa manière une nouvelle version du Capital de Karl
Marx. Notre vendeur de surgelés amoureux des arts, des chiffres et
lettres est un redoutable boursicoteur qui ne semble pas soumis aux
aléas de la spéculation financière.
Un chapitre du livre relate cet épisode au cours duquel l?écrivaillon du
CAC 40 perd plus de 2 millions d?euros après voir confié cette somme à
la société Etna Finance : « Dans la débâcle, Bernard-Henri Lévy perd
plus de 2 millions d?euros ; Il est fou furieux : Derrière sa façade
d?intello, explique Parent, le patron d?Etna Finance, c?est un allumé de
l?argent, totalement obsédé par cela. » Quand les pertes commencent à
s?accumuler, toujours selon le patron d?Etna Fiance, le boursicoteur
affolé appelle « dix à quinze fois par jour, et de partout. Il passe des
coups de fils d?Afghanistan ou de Marrakech, argumentant marchés à terme
avec une aisance déconcertante ».
Et lorsque le golden boy BHL dilapide ses petites économies, il exige
aussitôt d?être remboursé en recourant à son arme favorite : la menace
au licenciement. Claire Arfi gestionnaire de ses fonds témoigne : « Je
gérais le compte Finaquatre de M. Bernard- Henri Lévy et j?avais pris
des positions sur le marché obligataire américain dont les cours ont
chuté brutalement » dira-elle au juge. Mais devant les menaces verbales
de Bernard-Henri Lévy de me faire perdre mon emploi et malgré l?avis
contraire de mon patron, j?ai préféré le rembourser. »
« Une imposture française » déboutonne un peu plus la chemisette blanche
de BHL achetée à 350 euros l?unité. Un costume de scène indispensable à
l?entretien de sa légende de bohème emphatique. Mais tout en
déboutonnant sa tenue mystificatrice, la succulente estocade de Nicolas
Beau et Olivier Toscer le rhabille chaudement pour plusieurs hivers, ce
qui est particulièrement utile quand on navigue comme BHL dans le
secteur de la congélation.
--
blog:
http://quintaldo.wordpress.com/
files site:
http://www.divshare.com/download/5059726-d25
diegel
2008-11-17 00:55:44 UTC
Permalink
Nous dirons que BHL est la plus riche des personnes qui s'affublent du titre
de philosophe, environ 150 millions d'euros, mais aucun texte philosophique.
Mais il n'y a pas lieu de s'attaquer à BHL en particulier quand on voit la
décrépitude mentale de Glucksman ou autre Finkielkraut.
Au-delà des cas personnels, il y a lieu de s'interroger sur ce qu'à produit
la philosophie, disons après Sartre, soit un spectacle sidérant
d'inintellectualité.
La philosophie aujourdhui, c'est un BHL qui se fait éneuroner par un Zemmour
sur un plateau de téloche animé par un bouffon.
Je ne dis pas, un Badiou et quelques autres, des philosophes du fond, mais
s'il ne sacrifie pas au principe de Rocard, aucune chance qu'il puisse un
jour se tailler une tronche dans le barnum médiatique.
Ahmed Ouahi, Architect
2008-11-17 01:30:01 UTC
Permalink
Qu'en est-ce à dire connard en ferais-tu bien l'arbitre
Qu'en ferais-tu si des prolongations en tant qu'arbitre
--
Ahmed Ouahi, Architect
Bonjour!
Post by diegel
Nous dirons que BHL est la plus riche des personnes qui s'affublent du titre
de philosophe, environ 150 millions d'euros, mais aucun texte
philosophique.
Mais il n'y a pas lieu de s'attaquer à BHL en particulier quand on voit la
décrépitude mentale de Glucksman ou autre Finkielkraut.
Au-delà des cas personnels, il y a lieu de s'interroger sur ce qu'à produit
la philosophie, disons après Sartre, soit un spectacle sidérant
d'inintellectualité.
La philosophie aujourdhui, c'est un BHL qui se fait éneuroner par un Zemmour
sur un plateau de téloche animé par un bouffon.
Je ne dis pas, un Badiou et quelques autres, des philosophes du fond, mais
s'il ne sacrifie pas au principe de Rocard, aucune chance qu'il puisse un
jour se tailler une tronche dans le barnum médiatique.
diegel
2008-11-17 01:46:34 UTC
Permalink
Zombie Ahmed n'a plus de cervelle depuis longtemps mais, vous voyez, il
jappe encore !
Pour des explications, je vous invite à la conférence du Docteur Logan
dans - Le jour des mort-vivants, de George Romero, 1985.
Ahmed Ouahi, Architect
2008-11-17 01:51:51 UTC
Permalink
Pourtant éventuellement c'est ainsi
Et comment sont les règles du jeu
Si n'as-tu rien dutout à vendre ainsi

Faudrait-il voir ce qui en est du jeu
Comment puisses-tu rien qu'ainsi
Juste te vendre pour y être en jeu
--
Ahmed Ouahi, Architect
Bonjour!
Post by diegel
Zombie Ahmed n'a plus de cervelle depuis longtemps mais, vous voyez, il
jappe encore !
Pour des explications, je vous invite à la conférence du Docteur Logan
dans - Le jour des mort-vivants, de George Romero, 1985.
diegel
2008-11-17 02:11:21 UTC
Permalink
[Ted > - Où est Frankenstein ?

Sarah > Il est dans son laboratoire, où veut-tu qu'il soit ?

Docteur Logan > On constate une absence d'initiative et d'attention, de
beaucoup de fonctions
cognitives humaines. Ce serait apparemment le résultat de déficiences dans
les lobes frontaux et pariétaux, temporaux et occipitaux également. A la
réincarnation, le taux de décomposition est ralentit de façon substantielle.
Ce qui tendrait à prouver que ces êtres pourraient fonctionner pendant des
années. Dans des cas de réincarnations précoces, dix ou douze ans avant, des
déficiences pourraient affecter leur mobilité. Le cerveau est une machine,
Sarah, le moteur qui les entraîne, ils n'ont besoin ni de circulation
sanguine ni d'organes internes ! Celui-là, je viens de l'amputer de tous ses
organes vitaux, il ne reste plus rien d'autre que le cerveau et les membres
et pourtant il réagit, hein, regardez Sarah ! Si je comprends ce qu'il
demande, il voudrait manger et pourtant il n'a plus d'estomac, il ne tire
aucune substance de ce qu'il ingère, il ne marche qu'à l'instinct ! Vous
voyez bien, c'est primordial l'instinct ! La décomposition s'attaque en
premier lieu aux lobes frontaux, d'abord au néo-cortex et ensuite au système
sympathique, le cerveau moyen. Mais le coeur ici, enfin le centre du
cerveau, est le dernier organe atteint par le délabrement. Le voilà le
complexe R, Sarah, hum ? Regardez cette parcelle venue de la préhistoire,
celle que nous avons hérité des reptiles, c'est ... ben c'est ça la clé de
mon problème. Quoiqu'il arrive, le complexe R continue d'agir, même séparé
du corps, il remplit son office. J'ai l'impression qu'il sera bienveillant
même s'il conserve la vue et ses autres sens. Son instinct primitif a
complètement disparu. Il a toutes ses fonctions motrices et il a
certainement conservé ses capacités de réflexion. Il est presque domestiqué,
voyez-vous Sarah, et on pourrait l'obliger à nous obéir, enfin, lui proposer
de nous obéir.

Sarah > Et la chose que cela requiert, c'est de farfouiller quinze
heures durant dans le ventre d'un cadavre, opération que seule une petite
poignée de gens peut faire ? J'avais compris que nous allions stopper nos
travaux neuro-physiques et nous consacrer à des études plus pratiques.

Docteur Logan > Mais ces découvertes sont d'une importance essentielle et je
ne stopperai ce que
j'ai entrepris que sous la contrainte; en tout c'est à moi de poser mes
conditions.

Sarah > Mais il s'agit seulement de théories déjà avancées depuis très
longtemps et d'ailleurs vous ne les prouvez pas correctement. A la rigueur,
vous bouchez des trous. Vous perdez votre temps à tenter de définir des
points de détails de peu d'intérêt au lieu de vous informer de ce qui ce
passe vraiment ! Et regardez ces tables encombrées de spécimens, c'est
extrêmement dangereux de capturer les animaux, vous les préférez morts ou en
cage comme ces zombies. Qu'est-ce qu'il a celui-là ?

Docteur Logan > Il était trop turbulent, il a fallu que je l'abatte. On peut
encore en tirer des
informations, vous savez ...

Sarah > Docteur Logan, il faut tirer un trait sur la coopération de nos
amis. Je ne suis plus tellement sûre qu'ils nous
approvisionnent en nouveaux spécimens comme ils le faisaient avant. Je me
demande même jusqu'à quel point ils ne vont pas nous lâcher complètement.

Docteur Logan > Mais ils verront les résultats, hum ? car j'ai des résultats
! Je leur
démontrerai que ces créatures peuvent être domestiquées sans le concours de
la chirurgie. On peut espérer qu'on va pouvoir les approcher dans l'avenir,
les conditionner, les contrôler même ! Et nous devons y arriver Sarah, c'est
notre unique espoir. Oui, c'est ... c'est le Major Cooper. Mais il le
fallait Sarah ... Il nous aide plus pour l'instant qu'il nous a aidé de son
vivant ...

Sarah > Mais alors au cimetière ?

Docteur Logan > Ben heu, remplacé par un de mes cobayes ...

Sarah > ... Jésus ! Ecoutez Logan, avez-vous une idée de qu'ils vont vous
faire
s'ils apprennent ça ? Sans compter ce qu'ils risquent de nous faire à nous ?

Docteur Logan > Mais ils ne peuvent pas le savoir ! On ne peut pas le
reconnaître ...]

(Le jour des mort-vivants/ George Romero/ 1985)
diegel
2008-11-17 03:14:09 UTC
Permalink
[Ted > - Où est Frankenstein ?

Sarah > Il est dans son laboratoire, où veux-tu qu'il soit ?

Docteur Logan > On constate une absence d'initiative et d'attention, de
beaucoup de fonctions
cognitives humaines. Ce serait apparemment le résultat de déficiences dans
les lobes frontaux et pariétaux, temporaux et occipitaux également. A la
réincarnation, le taux de décomposition est ralentit de façon substantielle.
Ce qui tendrait à prouver que ces êtres pourraient fonctionner pendant des
années. Dans des cas de réincarnations précoces, dix ou douze ans avant, des
déficiences pourraient affecter leur mobilité. Le cerveau est une machine,
Sarah, le moteur qui les entraîne, ils n'ont besoin ni de circulation
sanguine ni d'organes internes ! Celui-là, je viens de l'amputer de tous ses
organes vitaux, il ne reste plus rien d'autre que le cerveau et les membres
et pourtant il réagit, hein, regardez Sarah ! Si je comprends ce qu'il
demande, il voudrait manger et pourtant il n'a plus d'estomac, il ne tire
aucune substance de ce qu'il ingère, il ne marche qu'à l'instinct ! Vous
voyez bien, c'est primordial l'instinct ! La décomposition s'attaque en
premier lieu aux lobes frontaux, d'abord au néo-cortex et ensuite au système
sympathique, le cerveau moyen. Mais le coeur ici, enfin le centre du
cerveau, est le dernier organe atteint par le délabrement. Le voilà le
complexe R, Sarah, hum ? Regardez cette parcelle venue de la préhistoire,
celle que nous avons hérité des reptiles, c'est ... ben c'est ça la clé de
mon problème. Quoiqu'il arrive, le complexe R continue d'agir, même séparé
du corps, il remplit son office. J'ai l'impression qu'il sera bienveillant
même s'il conserve la vue et ses autres sens. Son instinct primitif a
complètement disparu. Il a toutes ses fonctions motrices et il a
certainement conservé ses capacités de réflexion. Il est presque domestiqué,
voyez-vous Sarah, et on pourrait l'obliger à nous obéir, enfin, lui proposer
de nous obéir.

Sarah > Et la chose que cela requiert, c'est de farfouiller quinze
heures durant dans le ventre d'un cadavre, opération que seule une petite
poignée de gens peut faire ? J'avais compris que nous allions stopper nos
travaux neuro-physiques et nous consacrer à des études plus pratiques.

Docteur Logan > Mais ces découvertes sont d'une importance essentielle et je
ne stopperai ce que
j'ai entrepris que sous la contrainte; en tout c'est à moi de poser mes
conditions.

Sarah > Mais il s'agit seulement de théories déjà avancées depuis très
longtemps et d'ailleurs vous ne les prouvez pas correctement. A la rigueur,
vous bouchez des trous. Vous perdez votre temps à tenter de définir des
points de détails de peu d'intérêt au lieu de vous informer de ce qui ce
passe vraiment ! Et regardez ces tables encombrées de spécimens, c'est
extrêmement dangereux de capturer les animaux, vous les préférez morts ou en
cage comme ces zombies. Qu'est-ce qu'il a celui-là ?

Docteur Logan > Il était trop turbulent, il a fallu que je l'abatte. On peut
encore en tirer des
informations, vous savez ...

Sarah > Docteur Logan, il faut tirer un trait sur la coopération de nos
amis. Je ne suis plus tellement sûre qu'ils nous
approvisionnent en nouveaux spécimens comme ils le faisaient avant. Je me
demande même jusqu'à quel point ils ne vont pas nous lâcher complètement.

Docteur Logan > Mais ils verront les résultats, hum ? car j'ai des résultats
! Je leur
démontrerai que ces créatures peuvent être domestiquées sans le concours de
la chirurgie. On peut espérer qu'on va pouvoir les approcher dans l'avenir,
les conditionner, les contrôler même ! Et nous devons y arriver Sarah, c'est
notre unique espoir. Oui, c'est ... c'est le Major Cooper. Mais il le
fallait Sarah ... Il nous aide plus pour l'instant qu'il nous a aidé de son
vivant ...

Sarah > Mais alors au cimetière ?

Docteur Logan > Ben heu, remplacé par un de mes cobayes ...

Sarah > ... Jésus ! Ecoutez Logan, avez-vous une idée de qu'ils vont vous
faire
s'ils apprennent ça ? Sans compter ce qu'ils risquent de nous faire à nous ?

Docteur Logan > Mais ils ne peuvent pas le savoir ! On ne peut pas le
reconnaître ...]

(Le jour des mort-vivants/ George Romero/ 1985)
Ahmed Ouahi, Architect
2008-11-17 03:28:25 UTC
Permalink
Dla-Mu-Sic!

Comme c'était si adoucissant, voire assourdissant. En effet, étant que tout
ce qui suit n'est que la route de la musique. En effet, en autriche,une
fois, qu'elle avait prise cette musique chez elle un virage foudroyant...

Justement, laissant l'autriche ne penser que faire le gros de pognon qu'elle
puisse, s'illusionnant à prétendre qu'autrui ne verrait et n'entendrait
que la musique...

En effet, en nous laissant sur la plus grande des illusions. En effet,
rêvassait un homme seul qui semblait en être seul et qui semblait se parler
à lui même. Et, de choses musicales, ce qui semble en être dans un ton
vraiment musical...

Musical...

Essentiellement, de vouloir en faire société parfaite. Sachant, toutes fois,
qu'il ne suffiisait que coordoner certains notes, comme pour en faire une
symphonie. Seulement, s'abstenant de s'en rendre compte, y avait-il toute
une différence entre une symphonie musicale et une autre plutôt humaine, ce
qui est une musique plutôt particulière...

Quoique, fait l'autre, mais était une question semblant peut-être sans
intérêt, pour les autrichiens. Sauf, bien entendu, pour l'intérêt réel, ce
qui laisse le reste sans aucune importance...

- Mais, comment cela, sans importance, se demanda une personne de certains
locaux des alentours, qui passait juste par hasard...

- Quoi, parles-tu de quoi, répondi cet homme qui pensait à tout cela...

- De ce que étais-tu de penser à l'instant...

- Ah, bon, je pensais à quoi? demande le premier...

- Laisse tomber, répondi le second...

En effet, une fois que l'autriche prenne ce virage et quel virage.
Essentiellement, susceptible de couvrir un génocide continuel laissant,
juste la musique s'entendre...

Seulement, son enrichissement avait été si coordonné comme avait-il été si
ordonné. Par qui, sa population ne devait aucument le savoir. Étant, que
c'est le système qui s'en occupe à la faire cette population...

- Attend un peu, parles-tu bien de musique ou de population, demande encore
cet homme...

- Faudrait-il, que tu saches encore, que ta curiosité pourrait-elle faire un
cobaye exquis, pour ces services...

- Pourquoi, je viens de dire quelque chose, dit l'homme...

Pour cela, faudrait-il lui jouer encore plus de musique, à tel point, que ça
fasse en être encore plus assourdissante dans tous les sens du terme...

D'autant plus, que pour cela, ne fallait-il qu'utiliser une autre espèce
d'armée, qui devrait y être souterraine. En effet, et qui serait occupée de
préparer des armes mais plutôt idéologiques qui puissent anésthésier
toute la population, disons pour la planète...

En effet, les laissant se poser tout genre de questions. Étant, qu'on leur
fasse subir cela, sans qu'ils sans s'en rendre compte dans la plupart des
cas, et si jamais le cas, on en fasse des cobayes de plus, ce qui fait un
plus...

Et nous autres experts en la matière avec nos expets nous couvrerons assez
bien les choses. Comment cela, personne ne le sait encore, et personne ne le
saura jamais...

Par ailleurs, ce qui ne serait, que plus facile comme cela à été fait pour
la stérilisation de cette population. Quoique cela, n'a jamais été su et ça
ne le sera peut-être jamais...

Pour cela, rien que de faire croire à cette population, ce n'est que pour
qu'on puisse sauver la planète. Comme si cette planète à été faite par nous
autres et par nos soins...

Mais on continue à faire cela, peut être qu'un jour, on trouverait
de quoi cet être humain est fait...

Étant, que maintenant avec les services de la cybernétique, peut-être, qu'on
pourrait y arriver. Sachant, toute fois, que chaque fois qu'on touche aux
entrailles de l'être, la plus grande des catastrophes est toujours en
perspective...

Mais, on ne fait que s'abstenir de le reconnaître, car, qu'en dirait les
autres pour lesquels on est parfait...

Néanmoins, arriver à quoi, sachant, toutes fois, qu'on ne puisse répondre à
cette question on ne fait que continuer avec le soi-disant courage des
autres. Et que les autres ne puissent jamais s'en rendre compte de ce qu'on
leur fasse...

Puisqu'on ne fait que les prendre dans la plupart des cas à la naissance. En
effet, juste, pour notre jouissance ce qui fait notre puissance...
--
Ahmed Ouahi, Architect
Bonjour!
Post by diegel
[Ted > - Où est Frankenstein ?
Sarah > Il est dans son laboratoire, où veux-tu qu'il soit ?
Docteur Logan > On constate une absence d'initiative et d'attention, de
beaucoup de fonctions
cognitives humaines. Ce serait apparemment le résultat de déficiences dans
les lobes frontaux et pariétaux, temporaux et occipitaux également. A la
réincarnation, le taux de décomposition est ralentit de façon substantielle.
Ce qui tendrait à prouver que ces êtres pourraient fonctionner pendant des
années. Dans des cas de réincarnations précoces, dix ou douze ans avant, des
déficiences pourraient affecter leur mobilité. Le cerveau est une machine,
Sarah, le moteur qui les entraîne, ils n'ont besoin ni de circulation
sanguine ni d'organes internes ! Celui-là, je viens de l'amputer de tous ses
organes vitaux, il ne reste plus rien d'autre que le cerveau et les membres
et pourtant il réagit, hein, regardez Sarah ! Si je comprends ce qu'il
demande, il voudrait manger et pourtant il n'a plus d'estomac, il ne tire
aucune substance de ce qu'il ingère, il ne marche qu'à l'instinct ! Vous
voyez bien, c'est primordial l'instinct ! La décomposition s'attaque en
premier lieu aux lobes frontaux, d'abord au néo-cortex et ensuite au système
sympathique, le cerveau moyen. Mais le coeur ici, enfin le centre du
cerveau, est le dernier organe atteint par le délabrement. Le voilà le
complexe R, Sarah, hum ? Regardez cette parcelle venue de la préhistoire,
celle que nous avons hérité des reptiles, c'est ... ben c'est ça la clé de
mon problème. Quoiqu'il arrive, le complexe R continue d'agir, même séparé
du corps, il remplit son office. J'ai l'impression qu'il sera bienveillant
même s'il conserve la vue et ses autres sens. Son instinct primitif a
complètement disparu. Il a toutes ses fonctions motrices et il a
certainement conservé ses capacités de réflexion. Il est presque domestiqué,
voyez-vous Sarah, et on pourrait l'obliger à nous obéir, enfin, lui proposer
de nous obéir.
Sarah > Et la chose que cela requiert, c'est de farfouiller quinze
heures durant dans le ventre d'un cadavre, opération que seule une petite
poignée de gens peut faire ? J'avais compris que nous allions stopper nos
travaux neuro-physiques et nous consacrer à des études plus pratiques.
Docteur Logan > Mais ces découvertes sont d'une importance essentielle et je
ne stopperai ce que
j'ai entrepris que sous la contrainte; en tout c'est à moi de poser mes
conditions.
Sarah > Mais il s'agit seulement de théories déjà avancées depuis très
longtemps et d'ailleurs vous ne les prouvez pas correctement. A la rigueur,
vous bouchez des trous. Vous perdez votre temps à tenter de définir des
points de détails de peu d'intérêt au lieu de vous informer de ce qui ce
passe vraiment ! Et regardez ces tables encombrées de spécimens, c'est
extrêmement dangereux de capturer les animaux, vous les préférez morts ou en
cage comme ces zombies. Qu'est-ce qu'il a celui-là ?
Docteur Logan > Il était trop turbulent, il a fallu que je l'abatte. On peut
encore en tirer des
informations, vous savez ...
Sarah > Docteur Logan, il faut tirer un trait sur la coopération de nos
amis. Je ne suis plus tellement sûre qu'ils nous
approvisionnent en nouveaux spécimens comme ils le faisaient avant. Je me
demande même jusqu'à quel point ils ne vont pas nous lâcher complètement.
Docteur Logan > Mais ils verront les résultats, hum ? car j'ai des résultats
! Je leur
démontrerai que ces créatures peuvent être domestiquées sans le concours de
la chirurgie. On peut espérer qu'on va pouvoir les approcher dans l'avenir,
les conditionner, les contrôler même ! Et nous devons y arriver Sarah, c'est
notre unique espoir. Oui, c'est ... c'est le Major Cooper. Mais il le
fallait Sarah ... Il nous aide plus pour l'instant qu'il nous a aidé de son
vivant ...
Sarah > Mais alors au cimetière ?
Docteur Logan > Ben heu, remplacé par un de mes cobayes ...
Sarah > ... Jésus ! Ecoutez Logan, avez-vous une idée de qu'ils vont vous
faire
s'ils apprennent ça ? Sans compter ce qu'ils risquent de nous faire à nous ?
Docteur Logan > Mais ils ne peuvent pas le savoir ! On ne peut pas le
reconnaître ...]
(Le jour des mort-vivants/ George Romero/ 1985)
diegel
2008-11-17 04:27:48 UTC
Permalink
Un zombie graphomane ! Si seulement je pouvais le présenter au Docteur Logan
...
Ahmed Ouahi, Architect
2008-11-17 05:39:34 UTC
Permalink
Aurais-tu pu en avoir besoin
Et de la juliette aida-t-elle le romuald

Aurais-tu dis s'abstiendra-t-elle quand en as-tu besoin
D'aide à ne plus faire le connard et t'éloigner des connards
--
Ahmed Ouahi, Architect
Bonjour!
Post by diegel
Un zombie graphomane ! Si seulement je pouvais le présenter au Docteur
Logan ...
diegel
2008-11-17 17:31:56 UTC
Permalink
Tir de chasse sur la cervelle de chiasse.
José
2008-11-17 17:48:42 UTC
Permalink
allez, allez, du balai, tyran de poussière sans envergure ....
ça pue vraiment le gestapiste aigu sous une étiquette de socialo......
Post by diegel
Tir de chasse sur la cervelle de chiasse.
Ahmed Ouahi, Architect
2008-11-17 03:23:12 UTC
Permalink
Dla-Mu-Sic!

Comme c'était si adoucissant, voire assourdissant. En effet, étant que tout
ce qui suit n'est que la route de la musique. En effet, en autriche,une
fois, qu'elle avait prise cette musique chez elle un virage foudroyant...

Justement, laissant l'autriche ne penser que faire le gros de pognon qu'elle
puisse, s'illusionnant à prétendre qu'autrui ne verrait et n'entendrait
que la musique...

En effet, en nous laissant sur la plus grande des illusions. En effet,
rêvassait un homme seul qui semblait en être seul et qui semblait se parler
à lui même. Et, de choses musicales, ce qui semble en être dans un ton
vraiment musical...

Musical...

Essentiellement, de vouloir en faire société parfaite. Sachant, toutes fois,
qu'il ne suffiisait que coordoner certains notes, comme pour en faire une
symphonie. Seulement, s'abstenant de s'en rendre compte, y avait-il toute
une différence entre une symphonie musicale et une autre plutôt humaine, ce
qui est une musique plutôt particulière...

Quoique, fait l'autre, mais était une question semblant peut-être sans
intérêt, pour les autrichiens. Sauf, bien entendu, pour l'intérêt réel, ce
qui laisse le reste sans aucune importance...

- Mais, comment cela, sans importance, se demanda une personne de certains
locaux des alentours, qui passait juste par hasard...

- Quoi, parles-tu de quoi, répondi cet homme qui pensait à tout cela...

- De ce que étais-tu de penser à l'instant...

- Ah, bon, je pensais à quoi? demande le premier...

- Laisse tomber, répondi le second...

En effet, une fois que l'autriche prenne ce virage et quel virage.
Essentiellement, susceptible de couvrir un génocide continuel laissant,
juste la musique s'entendre...

Seulement, son enrichissement avait été si coordonné comme avait-il été si
ordonné. Par qui, sa population ne devait aucument le savoir. Étant, que
c'est le système qui s'en occupe à la faire cette population...

- Attend un peu, parles-tu bien de musique ou de population, demande encore
cet homme...

- Faudrait-il, que tu saches encore, que ta curiosité pourrait-elle faire un
cobaye exquis, pour ces services...

- Pourquoi, je viens de dire quelque chose, dit l'homme...

Pour cela, faudrait-il lui jouer encore plus de musique, à tel point, que ça
fasse en être encore plus assourdissante dans tous les sens du terme...

D'autant plus, que pour cela, ne fallait-il qu'utiliser une autre espèce
d'armée, qui devrait y être souterraine. En effet, et qui serait occupée de
préparer des armes mais plutôt idéologiques qui puissent anésthésier
toute la population, disons pour la planète...

En effet, les laissant se poser tout genre de questions. Étant, qu'on leur
fasse subir cela, sans qu'ils sans s'en rendre compte dans la plupart des
cas, et si jamais le cas, on en fasse des cobayes de plus, ce qui fait un
plus...

Et nous autres experts en la matière avec nos expets nous couvrerons assez
bien les choses. Comment cela, personne ne le sait encore, et personne ne le
saura jamais...

Par ailleurs, ce qui ne serait, que plus facile comme cela à été fait pour
la stérilisation de cette population. Quoique cela, n'a jamais été su et ça
ne le sera peut-être jamais...

Pour cela, rien que de faire croire à cette population, ce n'est que pour
qu'on puisse sauver la planète. Comme si cette planète à été faite par nous
autres et par nos soins...

Mais on continue à faire cela, peut être qu'un jour, on trouverait
de quoi cet être humain est fait...

Étant, que maintenant avec les services de la cybernétique, peut-être, qu'on
pourrait y arriver. Sachant, toute fois, que chaque fois qu'on touche aux
entrailles de l'être, la plus grande des catastrophes est toujours en
perspective...

Mais, on ne fait que s'abstenir de le reconnaître, car, qu'en dirait les
autres pour lesquels on est parfait...

Néanmoins, arriver à quoi, sachant, toutes fois, qu'on ne puisse répondre à
cette question on ne fait que continuer avec le soi-disant courage des
autres. Et que les autres ne puissent jamais s'en rendre compte de ce qu'on
leur fasse...

Puisqu'on ne fait que les prendre dans la plupart des cas à la naissance. En
effet, juste, pour notre jouissance ce qui fait notre puissance...
--
Ahmed Ouahi, Architect
Bonjour!
Post by diegel
[Ted > - Où est Frankenstein ?
Sarah > Il est dans son laboratoire, où veut-tu qu'il soit ?
Docteur Logan > On constate une absence d'initiative et d'attention, de
beaucoup de fonctions
cognitives humaines. Ce serait apparemment le résultat de déficiences dans
les lobes frontaux et pariétaux, temporaux et occipitaux également. A la
réincarnation, le taux de décomposition est ralentit de façon substantielle.
Ce qui tendrait à prouver que ces êtres pourraient fonctionner pendant des
années. Dans des cas de réincarnations précoces, dix ou douze ans avant, des
déficiences pourraient affecter leur mobilité. Le cerveau est une machine,
Sarah, le moteur qui les entraîne, ils n'ont besoin ni de circulation
sanguine ni d'organes internes ! Celui-là, je viens de l'amputer de tous ses
organes vitaux, il ne reste plus rien d'autre que le cerveau et les membres
et pourtant il réagit, hein, regardez Sarah ! Si je comprends ce qu'il
demande, il voudrait manger et pourtant il n'a plus d'estomac, il ne tire
aucune substance de ce qu'il ingère, il ne marche qu'à l'instinct ! Vous
voyez bien, c'est primordial l'instinct ! La décomposition s'attaque en
premier lieu aux lobes frontaux, d'abord au néo-cortex et ensuite au système
sympathique, le cerveau moyen. Mais le coeur ici, enfin le centre du
cerveau, est le dernier organe atteint par le délabrement. Le voilà le
complexe R, Sarah, hum ? Regardez cette parcelle venue de la préhistoire,
celle que nous avons hérité des reptiles, c'est ... ben c'est ça la clé de
mon problème. Quoiqu'il arrive, le complexe R continue d'agir, même séparé
du corps, il remplit son office. J'ai l'impression qu'il sera bienveillant
même s'il conserve la vue et ses autres sens. Son instinct primitif a
complètement disparu. Il a toutes ses fonctions motrices et il a
certainement conservé ses capacités de réflexion. Il est presque domestiqué,
voyez-vous Sarah, et on pourrait l'obliger à nous obéir, enfin, lui proposer
de nous obéir.
Sarah > Et la chose que cela requiert, c'est de farfouiller quinze
heures durant dans le ventre d'un cadavre, opération que seule une petite
poignée de gens peut faire ? J'avais compris que nous allions stopper nos
travaux neuro-physiques et nous consacrer à des études plus pratiques.
Docteur Logan > Mais ces découvertes sont d'une importance essentielle et
je ne stopperai ce que
j'ai entrepris que sous la contrainte; en tout c'est à moi de poser mes
conditions.
Sarah > Mais il s'agit seulement de théories déjà avancées depuis très
longtemps et d'ailleurs vous ne les prouvez pas correctement. A la rigueur,
vous bouchez des trous. Vous perdez votre temps à tenter de définir des
points de détails de peu d'intérêt au lieu de vous informer de ce qui ce
passe vraiment ! Et regardez ces tables encombrées de spécimens, c'est
extrêmement dangereux de capturer les animaux, vous les préférez morts ou en
cage comme ces zombies. Qu'est-ce qu'il a celui-là ?
Docteur Logan > Il était trop turbulent, il a fallu que je l'abatte. On
peut encore en tirer des
informations, vous savez ...
Sarah > Docteur Logan, il faut tirer un trait sur la coopération de nos
amis. Je ne suis plus tellement sûre qu'ils nous
approvisionnent en nouveaux spécimens comme ils le faisaient avant. Je me
demande même jusqu'à quel point ils ne vont pas nous lâcher complètement.
Docteur Logan > Mais ils verront les résultats, hum ? car j'ai des
résultats ! Je leur
démontrerai que ces créatures peuvent être domestiquées sans le concours de
la chirurgie. On peut espérer qu'on va pouvoir les approcher dans l'avenir,
les conditionner, les contrôler même ! Et nous devons y arriver Sarah, c'est
notre unique espoir. Oui, c'est ... c'est le Major Cooper. Mais il le
fallait Sarah ... Il nous aide plus pour l'instant qu'il nous a aidé de son
vivant ...
Sarah > Mais alors au cimetière ?
Docteur Logan > Ben heu, remplacé par un de mes cobayes ...
Sarah > ... Jésus ! Ecoutez Logan, avez-vous une idée de qu'ils vont vous
faire
s'ils apprennent ça ? Sans compter ce qu'ils risquent de nous faire à nous ?
Docteur Logan > Mais ils ne peuvent pas le savoir ! On ne peut pas le
reconnaître ...]
(Le jour des mort-vivants/ George Romero/ 1985)
diegel
2008-11-17 04:28:33 UTC
Permalink
Un zombie graphomane ! Si seulement je pouvais le présenter au Docteur Logan
...
Ahmed Ouahi, Architect
2008-11-17 05:39:35 UTC
Permalink
Aurais-tu pu en avoir besoin
Et de la juliette aida-t-elle le romuald

Aurais-tu dis s'abstiendra-t-elle quand en as-tu besoin
D'aide à ne plus faire le connard et t'éloigner des connards
--
Ahmed Ouahi, Architect
Bonjour!
Post by diegel
Un zombie graphomane ! Si seulement je pouvais le présenter au Docteur Logan
...
diegel
2008-11-17 17:32:14 UTC
Permalink
Tir de chasse sur la cervelle de chiasse.
José
2008-11-17 17:48:47 UTC
Permalink
allez, allez, du balai, tyran de poussière sans envergure ....
ça pue vraiment le gestapiste aigu sous une étiquette de socialo......
Post by diegel
Tir de chasse sur la cervelle de chiasse.
Loading...