Zulu
2014-04-23 18:29:07 UTC
Il y a littéralement des milliers d’articles de publications scientifiques visées par
des pairs qui ne soutiennent pas la thèse d’une vision catastrophique, ou même
problématique, de l’enrichissement de l’atmosphère en CO2.
Par Craig D. Idso.
La publication récente du rapport de l’ONU sur le changement climatique a électrisé
politiciens et activistes environnementalistes, qui ont émis une nouvelle tournée
d’appels à réduire les émissions de gaz à effets de serre. Certaines des déclarations
parmi les plus enflammées dans ce sens sont venues de la sénatrice démocrate
californienne Barbara Boxer, qui en a appelé au congrès à « se réveiller et tout
faire en son pouvoir pour réduire la dangereuse pollution au carbone », tandis que le
ministre des affaires étrangères John Kerry a exprimé des sentiments similaires dans
un communiqué du State Department, affirmant que, « sauf si nous agissons rapidement
et fortement, la science nous dit que le climat et nos modes de vies sont
littéralement en péril ».
Vraiment ? Le climat de la Terre est-il si fragile que lui-même et notre mode de vie
seraient en péril à cause de la montée des émissions de dioxyde de carbone (CO2) ?
.../
Ne citer que des études qui font la promotion du catastrophisme climatique comme base
pour ces règlementations, tout en ignorant des études qui suggèrent juste le
contraire, est tout simplement mauvais. Les citoyens de chaque nation méritent un
examen bien plus approfondi de cette question par leurs États ; et ils devraient
exiger une plus grande responsabilité de leurs officiels élus dans leurs tentatives
de les fournir.
Alors que plus de 3000 références scientifiques visées par des pairs citées dans « Le
Changement Climatique Reconsidéré II, Impacts Biologiques » sont probablement plus
que suffisantes pour établir un fait scientifique devant une cour de justice, elles
ne sont pas suffisantes pour engager les vrais négationnistes du climat dans un
débat. La montée du CO2 atmosphérique n’a pas, et n’aura pas, d’influence dangereuse
sur le climat et la biosphère. Mais ne me croyez pas sur parole, téléchargez et lisez
le rapport par vous-mêmes (disponible ici). Comparez-le avec celui de l’ONU. À vous
de juger.
—-
[*] Dr Craig D. Idso est Éditeur en Chef et scientifique pour le Panel
Non-Gouvernemental sur le Changement Climatique.
http://www.contrepoints.org/2014/04/22/163729-face-au-giec-le-rapport-independant-sur-lautre-plateau-de-la-balance
des pairs qui ne soutiennent pas la thèse d’une vision catastrophique, ou même
problématique, de l’enrichissement de l’atmosphère en CO2.
Par Craig D. Idso.
La publication récente du rapport de l’ONU sur le changement climatique a électrisé
politiciens et activistes environnementalistes, qui ont émis une nouvelle tournée
d’appels à réduire les émissions de gaz à effets de serre. Certaines des déclarations
parmi les plus enflammées dans ce sens sont venues de la sénatrice démocrate
californienne Barbara Boxer, qui en a appelé au congrès à « se réveiller et tout
faire en son pouvoir pour réduire la dangereuse pollution au carbone », tandis que le
ministre des affaires étrangères John Kerry a exprimé des sentiments similaires dans
un communiqué du State Department, affirmant que, « sauf si nous agissons rapidement
et fortement, la science nous dit que le climat et nos modes de vies sont
littéralement en péril ».
Vraiment ? Le climat de la Terre est-il si fragile que lui-même et notre mode de vie
seraient en péril à cause de la montée des émissions de dioxyde de carbone (CO2) ?
.../
Ne citer que des études qui font la promotion du catastrophisme climatique comme base
pour ces règlementations, tout en ignorant des études qui suggèrent juste le
contraire, est tout simplement mauvais. Les citoyens de chaque nation méritent un
examen bien plus approfondi de cette question par leurs États ; et ils devraient
exiger une plus grande responsabilité de leurs officiels élus dans leurs tentatives
de les fournir.
Alors que plus de 3000 références scientifiques visées par des pairs citées dans « Le
Changement Climatique Reconsidéré II, Impacts Biologiques » sont probablement plus
que suffisantes pour établir un fait scientifique devant une cour de justice, elles
ne sont pas suffisantes pour engager les vrais négationnistes du climat dans un
débat. La montée du CO2 atmosphérique n’a pas, et n’aura pas, d’influence dangereuse
sur le climat et la biosphère. Mais ne me croyez pas sur parole, téléchargez et lisez
le rapport par vous-mêmes (disponible ici). Comparez-le avec celui de l’ONU. À vous
de juger.
—-
[*] Dr Craig D. Idso est Éditeur en Chef et scientifique pour le Panel
Non-Gouvernemental sur le Changement Climatique.
http://www.contrepoints.org/2014/04/22/163729-face-au-giec-le-rapport-independant-sur-lautre-plateau-de-la-balance