P@lp@tine
2006-05-16 11:45:01 UTC
Ainsi donc hier soir le Théatre de la Criée à Marseille accueillait
Anne NIVAT , la porteuse de valises bien connue du terrorisme Caucasien
, dans le cadre de l'attribution du prix " Albert Londres " à
Marseille .
La soirée était consacré à la diffusion de son film " Coca , la
colombe de Tchétchènie " .
Envriron 250 personnes de la faune politico-drouâdelômo- merdiatique
locale et Pantruchienne assistaient au ce râout drouâdelômesque .
Parmis elles , on peut signaler la présence d'un fossile , l'" ex "
Jean Kehayan , président du club de la presse loclae , du président
de France 3 Mediterranée , de la " miss " et du realisateur de ce
film de propagande Eric Bergkraut .
A l'entrée , une table du " Comite Tchetchenie " ou un paralytique
baillait à mourir , personne ne s'interressant apparement à sa "
cause " !
Si on ne peut rien dire sur ce " pseudo documentaire de niveau de
première année d'école de journalisme " , le débat a donné lieu à
des développements interressants .
A peine peut on mentionner un rire , ou plutôt deux , qui ont
parcouru la salle ( Un début de prise de conscience ??????????? )
lors de cette projection .
Le premier éclat survient lors de la " scéne des abeilles "
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Un drouâdelômiste Suisse , le pasteur Walter Egli , rend visite à
ses petits protégés .
Ceux ci ont élèvent des ruches ! Ils font gouter le miel , qu'ils
qualifient de " biologique " , au pasteur .
Puis ils réclament " Ces ruches qui produisent ce miel Biologique
coutent cher , il nous faut de l'argent ! "
Réponse , o combien réaliste , du pasteur Egli : " D'accord , mais il
faudra nous donner les factures ! Les donnateurs l'exigent ! "
Pas folle la guêpe !
Le deuxième raz de marrage survient lorsque le mari de " Coca " se
propose de faire gouter ce miel au pasteur et au cameraman !
" Tiens ! Goute ! C'est du bon miel ! "
Tout le monde a alors en tête , à la vue de la louche de miel , la
scéne " de la fourme " dans " Les bronzés font du ski ! "
Comme je l'ai écrit , le débat fut des plus intéressants . En effet
, il donna lieu non pas au râout Poutinophobe et Russophobe que
certains dans la salle espéraient mais à la rédefinition du rôle de
journaliste .
Je comptais y participer et créer l'esclandre au milieu de cette
assemblée consensuelle .
Un jeune étudiant journaliste m'en enleva l'opportunité .
D'emblée , malgrés son zozotement , il s'attaque de front à miss
NIVAT :
" Ne pensez vous pas que votre reportage manque d'objectivité et qu'il
n'explique pas la situation en Tchétchènie ? "
Silence dans la salle , quelques appludissements dont les miens , les
plus bruyants assortis d'un " BRAVO ! " !
Engoncé dans un fauteuil les " débateurs " me jettent un regard
furieux ............
Je sais que n'auurais pas accés au micro , mais le " jeune " à la
tchatche et ne va pas le lâcher !
Outrée , Miss NIVAT répond :
" NON ! Monsieur ! Je ne suis pas journaliste ! Je suis un grand
reporter , je n'ai pas à être objective . Mon travail consiste à
raconter une histoire et à essayer de faire adhérer le public à la
thématique que je développe . Il faut de toute façon ne pas vous
leurrer , l'objectivité et en particulier la légendaire objectivité
de la presse Anglo-Saxonne n'existe pas . Il n' ya pas de journalistes
objectifs "
Une phrase me vient alors à l'esprit , celle d'Eva Duarte de Peron sur
son lit de douleur et de suplice :
" Ne parlez JAMAIS à la presse ! Elle ne raconte QUE des mensonges ! "
Comme elle avait raison ! J'en vient à applaudir ..............Anne
NIVAT !
Au moins on est desormais fixé .........................
Sentant la salle échapper , le réalisateur Eric Bergkraut intervient
:
" Il ne faut pas voir ce film comme un reportage journalistique ou un
documentaire . Il faut le voir pluttôt comme un " lieu de
mémouâââ^re " , l'expression est lachée .............
Vous savez , lorsque je suis arrivé hier à Marseille je suis allé
visiter le Fort Saint Jean .
Je me suis alors rappellé de mon Père , juif autrichien , qui y a
embarqué pour la Légion et l'Afrique en 1939 .
C'est pour moi un " lieu de mémouârre " ! Ce film est un " lieu de
mémouâââââre " pour " Coca " , sa famille et les Tchétchènes "
La petite soldate NIVAT est sauvée : On réussi à créer le lien
entre son film et la Choââââââââh !
LANZMANN nous voici !
Teigneux , l'étudiant en journalisme surenchérit :
" Pouvez vous nous indiquer combien a couté le film ? "
On esquive .............................
Personne ne répond !
C'est au tour du directeur regional de France 3 d'essayer de sauver la
" situation " .
" Bon , pour vous donner un ordre de grandeur un reportage comme celui
ci , avec la numérisation revient entre 100k et 300Kneuros . Cela doit
être plus proche de 300Kneuros .! "
Eric Bergkraut évqoue alors un " autofinancement " ................
Anne Nivat intervient :
" J'ai vécu au milieu des Tchétchènes . Je n'ai pas eu d'hôtel à
payer et puis de toute façon il n' y a pas d'Hôtel à payer . Mais il
a afallu payer les billets d'avion des nombreux voyages "
" Et les nuits d'Hôtela à Genêve et Zurich " lance le jeune
étudiant ! " Plus de la moitié du film s'y déroule ! "
Quelques applaudissements !!!!!!!!!
Le débat continue sur la situation des médiats , la presse ,
......Bref rien de bien intéressant !
Le public commence à se raréfier , les gens se lèvent et sortent .
Deux interventions tentent , sans succés , de rebondir dans
l'Antipoutinisme .
La classe merdiatique est bien trop préoccupée par ses " problèmes "
et est bien trop narcissqiue !
Pensez donc ! Le journaliste de " La Provence " ou celui de l'édition
locale de France 3 a en face de lui la " Grande " NIVAT !
Tous se précipeieront à la fin vers elle pour se faire tirer le
portrait en sa compagnie , à défaut de la dame , sur leur portable !
Je m'élance vers le jeune étudiant et le rattrape ! A la sortie ,
Anne NIVAT lui lance un regard furieux !
On va se payer une mousse au buffet du théatre !
En se rappelant d'un chose : Le théatre de la Criée est une ancienne
.........Poissonerie à l'étal .
C'est là qu'on rencontrait les fameuses " Poissonières " de Marseille
!
Jamais lieu n' aussi bien été choisi pour accueillir des journalistes
,.....ou des " grands reporters " !
Anne NIVAT , la porteuse de valises bien connue du terrorisme Caucasien
, dans le cadre de l'attribution du prix " Albert Londres " à
Marseille .
La soirée était consacré à la diffusion de son film " Coca , la
colombe de Tchétchènie " .
Envriron 250 personnes de la faune politico-drouâdelômo- merdiatique
locale et Pantruchienne assistaient au ce râout drouâdelômesque .
Parmis elles , on peut signaler la présence d'un fossile , l'" ex "
Jean Kehayan , président du club de la presse loclae , du président
de France 3 Mediterranée , de la " miss " et du realisateur de ce
film de propagande Eric Bergkraut .
A l'entrée , une table du " Comite Tchetchenie " ou un paralytique
baillait à mourir , personne ne s'interressant apparement à sa "
cause " !
Si on ne peut rien dire sur ce " pseudo documentaire de niveau de
première année d'école de journalisme " , le débat a donné lieu à
des développements interressants .
A peine peut on mentionner un rire , ou plutôt deux , qui ont
parcouru la salle ( Un début de prise de conscience ??????????? )
lors de cette projection .
Le premier éclat survient lors de la " scéne des abeilles "
Loading Image...
Loading Image...
Un drouâdelômiste Suisse , le pasteur Walter Egli , rend visite à
ses petits protégés .
Ceux ci ont élèvent des ruches ! Ils font gouter le miel , qu'ils
qualifient de " biologique " , au pasteur .
Puis ils réclament " Ces ruches qui produisent ce miel Biologique
coutent cher , il nous faut de l'argent ! "
Réponse , o combien réaliste , du pasteur Egli : " D'accord , mais il
faudra nous donner les factures ! Les donnateurs l'exigent ! "
Pas folle la guêpe !
Le deuxième raz de marrage survient lorsque le mari de " Coca " se
propose de faire gouter ce miel au pasteur et au cameraman !
" Tiens ! Goute ! C'est du bon miel ! "
Tout le monde a alors en tête , à la vue de la louche de miel , la
scéne " de la fourme " dans " Les bronzés font du ski ! "
Comme je l'ai écrit , le débat fut des plus intéressants . En effet
, il donna lieu non pas au râout Poutinophobe et Russophobe que
certains dans la salle espéraient mais à la rédefinition du rôle de
journaliste .
Je comptais y participer et créer l'esclandre au milieu de cette
assemblée consensuelle .
Un jeune étudiant journaliste m'en enleva l'opportunité .
D'emblée , malgrés son zozotement , il s'attaque de front à miss
NIVAT :
" Ne pensez vous pas que votre reportage manque d'objectivité et qu'il
n'explique pas la situation en Tchétchènie ? "
Silence dans la salle , quelques appludissements dont les miens , les
plus bruyants assortis d'un " BRAVO ! " !
Engoncé dans un fauteuil les " débateurs " me jettent un regard
furieux ............
Je sais que n'auurais pas accés au micro , mais le " jeune " à la
tchatche et ne va pas le lâcher !
Outrée , Miss NIVAT répond :
" NON ! Monsieur ! Je ne suis pas journaliste ! Je suis un grand
reporter , je n'ai pas à être objective . Mon travail consiste à
raconter une histoire et à essayer de faire adhérer le public à la
thématique que je développe . Il faut de toute façon ne pas vous
leurrer , l'objectivité et en particulier la légendaire objectivité
de la presse Anglo-Saxonne n'existe pas . Il n' ya pas de journalistes
objectifs "
Une phrase me vient alors à l'esprit , celle d'Eva Duarte de Peron sur
son lit de douleur et de suplice :
" Ne parlez JAMAIS à la presse ! Elle ne raconte QUE des mensonges ! "
Comme elle avait raison ! J'en vient à applaudir ..............Anne
NIVAT !
Au moins on est desormais fixé .........................
Sentant la salle échapper , le réalisateur Eric Bergkraut intervient
:
" Il ne faut pas voir ce film comme un reportage journalistique ou un
documentaire . Il faut le voir pluttôt comme un " lieu de
mémouâââ^re " , l'expression est lachée .............
Vous savez , lorsque je suis arrivé hier à Marseille je suis allé
visiter le Fort Saint Jean .
Je me suis alors rappellé de mon Père , juif autrichien , qui y a
embarqué pour la Légion et l'Afrique en 1939 .
C'est pour moi un " lieu de mémouârre " ! Ce film est un " lieu de
mémouâââââre " pour " Coca " , sa famille et les Tchétchènes "
La petite soldate NIVAT est sauvée : On réussi à créer le lien
entre son film et la Choââââââââh !
LANZMANN nous voici !
Teigneux , l'étudiant en journalisme surenchérit :
" Pouvez vous nous indiquer combien a couté le film ? "
On esquive .............................
Personne ne répond !
C'est au tour du directeur regional de France 3 d'essayer de sauver la
" situation " .
" Bon , pour vous donner un ordre de grandeur un reportage comme celui
ci , avec la numérisation revient entre 100k et 300Kneuros . Cela doit
être plus proche de 300Kneuros .! "
Eric Bergkraut évqoue alors un " autofinancement " ................
Anne Nivat intervient :
" J'ai vécu au milieu des Tchétchènes . Je n'ai pas eu d'hôtel à
payer et puis de toute façon il n' y a pas d'Hôtel à payer . Mais il
a afallu payer les billets d'avion des nombreux voyages "
" Et les nuits d'Hôtela à Genêve et Zurich " lance le jeune
étudiant ! " Plus de la moitié du film s'y déroule ! "
Quelques applaudissements !!!!!!!!!
Le débat continue sur la situation des médiats , la presse ,
......Bref rien de bien intéressant !
Le public commence à se raréfier , les gens se lèvent et sortent .
Deux interventions tentent , sans succés , de rebondir dans
l'Antipoutinisme .
La classe merdiatique est bien trop préoccupée par ses " problèmes "
et est bien trop narcissqiue !
Pensez donc ! Le journaliste de " La Provence " ou celui de l'édition
locale de France 3 a en face de lui la " Grande " NIVAT !
Tous se précipeieront à la fin vers elle pour se faire tirer le
portrait en sa compagnie , à défaut de la dame , sur leur portable !
Je m'élance vers le jeune étudiant et le rattrape ! A la sortie ,
Anne NIVAT lui lance un regard furieux !
On va se payer une mousse au buffet du théatre !
En se rappelant d'un chose : Le théatre de la Criée est une ancienne
.........Poissonerie à l'étal .
C'est là qu'on rencontrait les fameuses " Poissonières " de Marseille
!
Jamais lieu n' aussi bien été choisi pour accueillir des journalistes
,.....ou des " grands reporters " !